PRODIGIEUSES AVENTURES DE TARTARIN DE TARASCON (LES)
Volume 2

Après trois jours dans le tangage et le roulis des eaux méditerranéennes, Tartarin de Tarascon pose enfin le pied sur la terre ferme d’Algérie. Il ne va pas se passer beaucoup de temps avant qu’il ne parte chasser ce fameux lion de l’Atlas qui l’a conduit à quitter son village chéri, mais l’animal, pardi, ne se montrera pas… (et pour cause !)

Tartarin de Tarascon va donc pousser plus loin vers le sud du pays, mais plutôt que des trophées de chasse, c’est surtout des moqueries de bon nombre des gens qu’il va croiser qu’il va collectionner !
 

Par sylvestre, le 1 mars 2010

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Notre avis sur PRODIGIEUSES AVENTURES DE TARTARIN DE TARASCON (LES) #2 – Volume 2

Ce second et ultime tome des aventures de Tartarin de Tarascon, adaptées de l’œuvre d’Alphonse Daudet et "marseillaisement" requalifiées de prodigieuses, se déroule hormis la toute fin exclusivement sur le continent africain. C’est que notre homme à un honneur à y sauver ! Et c’est avec bonheur que l’on met nos pas dans les siens, amusés par avance de ce qu’on sait devoir y trouver.

Et bingo, ça marche encore ! On a beau connaître l’histoire, la redécouvrir est bien réjouissant ! Cette version de Merlet et Rouger est d’ailleurs peut-être celle en bandes dessinées qui illustre le mieux les moqueries dont Tartarin fait l’objet. Pas qu’il n’en soit pas fait cas dans les autres versions, non, bien sûr, mais parce que la succession des petites hontes qu’il se tape est peut-être mieux mise en valeur grâce au rythme qui lui est donné. La séquence avec Bombonnel est, laissez-moi vous dire, un régal. Tartarin en ressort 100% lui, 100% ce que la légende en a fait !

Bon vieux bougre mythomane, Tartarin de Tarascon n’en demeure pas moins un bien sympathique personnage. Découvrez donc le regard qu’on porté sur lui Isabelle Merlet et Jean-Jacques Rouger : ça vaut son pesant de cacahuètes ! (sinon son pesant de lions de l’Atlas !)

Et c’est dans la collection Ex-Libris des éditions Delcourt.
 

Par Sylvestre, le 1 mars 2010

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