PETITS HOMMES (LES)
Les prisonniers du temps

Une fête très arrosée, trois amis ronds comme des queues de pelle, et après on a forcement des visions… C’est ce qui arrive à peu près à Renaud, qui en rentrant chez lui, s’aperçoit qu’il a perdu ses clés, et que la porte de chez lui est ouverte, alors qu’il était persuadé de l’avoir fermée. Un meuble de plus l’attend chez lui en plus, le Duc de la Fourrière, qui est bien décidé à avoir sa revanche contre les petits hommes (cf album précédent). S’en suit une bagarre, que Renaud est sur le point de gagner, mais le Duc s’enfuit, bien décidé à accomplir sa vengeance.
Le lendemain, les petits hommes, désormais avertis, se mettent à la recherche du Duc, mais font chou blanc. Renaud vérifie un dernier endroit quand il est surpris par le Duc, et précipité dans un trou d’eau assez profond. Il ne réapparaît pas (NDA : ça va pas bien être évident de finir l’histoire sans héros …).
Heureusement il en réchappe, et le lendemain, il retourne à la recherche de ce Duc de pacotille, qui une nouvelle fois réussi à lui échapper … Renaud est coriace, et le suit dans une bien curieuse grotte menant à une toute aussi étrange vallée…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur PETITS HOMMES (LES) #13 – Les prisonniers du temps

Le travail sur la vallée est tout simplement de toute beauté, il n’y a rien à redire. Séron est une nouvelle fois aux commandes du scénario et du dessin, et il faut bien avouer que cela lui réussit. Il maîtrise sa narration à la perfection, sait ménager ses effets de surprise, et surtout se permet de nous expliquer le pourquoi de la disparition des dinosaures, rien que ça. L’histoire est assez originale, et les être que l’on rencontre par la suite sont vraiment bien imaginés, aussi bien dans leur conception que par le dessin. Séron n’a de cesse de nous surprendre avec son imagination, et c’est un délice de lire les aventures toujours renouvelées des petits hommes.
Question dessins et histoire, rien à dire donc, c’est toujours au top. Et niveau dialogues, c’est aussi savoureux que du Audiard dans la bouche de Gabin ;o) Si si, je vous assure.
Je conclurai donc en vous recommandant une nouvelle fois la lecture des albums des petits hommes.

Par Siam l'Archiviste, le 1 juin 2004

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