PETITES VICIEUSES (LES)
Premiers émois

Elles sont jeunes, la plupart du temps au lycée, elles sont surtout belles et elles ne pensent qu’aux garçons… Ces huit petites histoires mettent donc en scène des jeunes filles qui aiment explorer leurs fantasmes.
Laura est sage et calme, mais derrière cette image se cache une amatrice de sexe extrême, prête à tout pour assouvir ses envies, même à se laisser prendre par un cochon pour quelques billets !!!
Isabel donne des cours d’anglais, elle est très belle et occupe les pensées de Richard son voisin qui rêve d’un jour la posséder…
Susy et Esther se retrouvent seules, un soir, c’est l’occasion de s’essayer aux plaisirs saphiques !
Julia et Marga fantasment sur les noirs et sur la taille de leur membre…
Adeline aime se confesser, surtout quand c’est Don Elias qui écoute…
Chi-Chi est serveuse dans un restaurant très particulier…
Marina vient de percer le secret de son frère, ses penchants homosexuels…
Le père de Gloria aime beaucoup fille, mais il a du mal aussi à réfréner ses penchant SM…

Par fredgri, le 15 septembre 2015

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Notre avis sur PETITES VICIEUSES (LES) #1 – Premiers émois

On se souvient des histoires publiées dans les vieux Kiss Comix, traduction des El Vibora espagnols, et plus particulièrement de ces petits récits de Monica et Bea mettant en scène des jeunes lycéennes dévergondées qui aiment le sexe et qui aiment surtout le pratiquer souvent !

Dans ce premier volume, entièrement en noir et blanc, qui signe donc les débuts de « la série », on découvre cet univers assez particulier qui frôle les interdits, qui s’amuse à présenter de jeunes héroïnes pleine de sensualité qui assument leur sexualité sans détour. L’ensemble est très frais, parfois dérangeant, mais globalement il n’y a rien de bien intellectualisant non plus. Une pornographie débridée, centrée sur une palette de fantasmes assez basiques finalement !

Certes, on n’est pas non plus dans des récits très originaux, néanmoins je trouve qu’ils le deviennent tout de même par le ton employé, par cette légèreté communicative et les situations très évocatrices. L’écriture est fluide, les dessins expressifs et très beaux ! Que demander de plus !

En tout ces Petites Vicieuses nous entraînent vers une BDX qui sort des sentiers ultra conventionnels du porno à papa. Une très belle occasion pour renouer avec un genre trop souvent décrié, malgré les petites perles de ce genre qui s’y cachent !

Vivement la suite !

Par FredGri, le 15 septembre 2015

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