NAUFRAGES D'YTHAQ (LES)
L'impossible vérité

En contrebas de la cité de Duorne, sur la rivière, il y a le royaume des Pailleurs.
Deux Pailleurs trouvent une femme inanimée flottant sur l’eau. Il s’agit de Granite. Les créatures l’envoient à fond de mine pour y travailler. Là, elle retrouve un de ses compagnons : Krurgor. Mais il leur est difficile de trouver une solution pour s’enfuir.
Narvarth, quant à lui, est toujours sous l’emprise de Sarkhun’Hr. Ce dernier lui demande de trouver la Porte…

 

Par berthold, le 28 septembre 2011

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Notre avis sur NAUFRAGES D’YTHAQ (LES) #9 – L’impossible vérité

Le Grand Final !
Oui, le grand final vous attend dans les pages de ce tome 9 de la saga Les naufragés d’Ythaq !
Le scénariste Arleston va nous dévoiler les secrets de cette planète ! De plus, il arrive à maintenir un très bon suspense et à y greffer de l’aventure qui vous scotche à votre fauteuil du début à la fin.
Oui, je n’ai pas été déçu avec cette série, au contraire de celle de Lanfeust qui, à mon avis, n’ont jamais tenu la route jusqu’au bout. Ici, l’auteur n’a pas cillé une seule fois sur les neuf tomes. Il y a tenu une cohérence, un excellent rythme qui ont fait qu’à chaque fois, nous avons pu apprécier les mésaventures de Narvarth, Granite et leur compagnons.
Oui, vous trouvez la Arleston’s Touch dans les pages de cette série, vous trouverez que parfois, cela peut voler bas, mais bizarrement, ici, cela fonctionne.

Avec ce tome 9, nous allons à la découverte des secrets d’Ythaq. Nous y voyons comment …ah, pardon…non, je ne veux rien dévoiler pour que vous, amis lecteurs, y trouviez aussi le plaisir de lire ces pages.
J’ai apprécié comment Arleston a traité ses héros, comment il a su nous surprendre avec eux, comment nous avons pu "trembler" pour certains d’entre eux et comment l’auteur a su amener un peu de romantisme dans la série.

Il faut saluer aussi le travail fabuleux d’Adrien Floch qui fait des merveilles au dessin. Il y a des cases vraiment époustouflantes, surprenantes, d’une grande maîtrise et qui nous en mettent plein la vue. Le rythme du récit est cinématographique : tout est en cinémascope, digne des grandes sagas de space-opéras.
Saluons le travail du coloriste Claude Guth, aidé par Sébastien Lamirand, qui a su coiffer de belles couleurs la planète Ythaq.

Arleston et Floch ont montré avec Les naufragés d’Ythaq qu’ensemble, ils avaient du potentiel et j’espère que nous retrouverons ce duo d’auteurs sur une suite d’Ythaq ou bien sur une nouvelle série.

En attendant, ne ratez pas la sortie de ce tome. Il conclut en beauté une grande aventure qui nous a emmenés aux confins de l’espace, dans un autre monde pour notre plus grand plaisir.

 

Par BERTHOLD, le 28 septembre 2011

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