LEGENDAIRES (LES)
Le cycle d'Anathos : Renaissance

Toutes les forces d’Alysia sont unies contre Anahtos, et le sacrifice des Légendaires a permis de tendre une embuscade qui sera fatale au Castlewar du Dieu.
Les légendaires livrent une furieuse bataille contre leur machiavéliques alter ego, et ils parviennent un à un à prendre le dessus sur doubles. Anathos ne se doute pas que ses lieutenants sont sur le point de mordre la poussière, il est bien trop occupé à se débarrasser de Jadina, mais elle aussi à mis ces deux années à améliorer sa technique. Mais est-elle encore la Jadina que l’on connaît ? Shimy a un doute là-dessus. Alors que le combat semble touché à sa fin, une nouvelle menace semble se dresser dans l’ombre d’Anathos…

Par eric, le 9 mars 2011

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Notre avis sur LEGENDAIRES (LES) #12 – Le cycle d’Anathos : Renaissance

Enfin, voici la conclusion du cycle le plus rocambolesque et stupéfiant dans l’histoire des Légendaires. Le cycle d’Anathos est surprenant par sa longueur mais aussi par le fait que durant quatre tomes, les Légendaires ne se sont pas occupés de l’effet Jovénia. Mais ce cycle sera surprenant par le sort qui s’acharne sur les héros. Aucun d’entre eux ne sera plus jamais comme avant, et finalement ce cycle pose plus de question qu’il n’en résout. Même si l’on découvre enfin le passé tragique de Razzia, on se rend compte que l’on a encore pas mal de découvertes à faire sur Jadina, surtout dans le sillage des nouveaux pouvoirs de Shimy.
Comme à l’habitude avec Patrick Sobral, on découvre pas mal de petits hommages par ci par là à des animés de notre enfance. Il y a tout d’abord Saint Seiya de par les traits des personnages, mais il y a aussi Dragon Ball Z notamment avec un Anathos qui se prend pour un certain Freezer. Mais ici ce qui saute surtout aux yeux c’est la ressemblance avec le Seigneurs des anneaux, avec cette union des peuples d’Alysia contre Anathos.
Décidément, ce cycle n’aura rien épargné aux Légendaires qui auront perdu plus que leur intégrité physique, mais aussi des amis, encore que sur ce point l’avenir nous réservera encore des surprises.
Bref, on pouvait se demander, si Patrick Sobral allait réussir un tel pari, la réponse est oui, et de fort belle manière, car il nous a livré un récit surprenant, haletant, sans trop de naïveté. Un récit qui fait passé les Légendaires dans une autre catégorie, mais sans jamais se départir de cette touche manga et de cette petite once d’humour qui contribue à rendre cette série attachante.

Par Eric, le 9 mars 2011

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