DÉRIVANTES (LES)
De l'autre côté du lagon

Au début, il n’y avait qu’un continent. Une civilisation qui prospérait, du littoral jusqu’aux pentes des grands volcans assoupis. Lorsqu’ils se sont réveillés, ce fut le grand cataclysme. Le feu, la terre, l’eau et le vent brisèrent le monde en un millier d’îles, mille mondes qui partirent à la dérive sur l’océan. Accrochés à ces vaisseaux de pierre volcanique, quelques miraculés survécurent. Avec le temps, ces hommes ont appris à vivre sur ce que l’on appelle désormais Les Dérivantes…

Papille a grandi dans le tumulte d’une taverne, située sur le tribord de la dérivante de Bourne. La jeune fille troque ses talents pour la peinture contre des histoires sur les îles lointaines tout en aidant sa mère Ama qui, malgré une jambe de bois, trime sans relâche depuis le départ de son mari pour la guerre un an plus tôt. Elles restent sans nouvelles de lui et doivent désormais supporter la présence de son misérable frère, le bourgmestre de la ville, qui veut reprendre la taverne et épouser Ama contre son gré. Lors de la soirée de fiançailles, Ama drogue tous les convives et s’enfuit avec sa fille chez sa soeur qui vit de l’autre côté du lagon. C’est le début d’un long périple pour Ama et Papille, qui pourra vérifier d’elle-même les dires de ceux qu’on appelle les Mériliens, les grands voyageurs ! (résumé de l’éditeur)

Par Julien Derouet, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur DÉRIVANTES (LES) #1 – De l’autre côté du lagon

Que dire de cet album? Pour être tout à fait honnête il me laisse un peu sur ma faim. Dans ce premier opus l’auteur s’attache, et c’est très bien, à camper l’univers de son histoire. Mais cette dernière tarde à se lancer. Sans doute aurait-il fallu sortir les deux premiers albums en même temps.
Graphiquement le style est très épuré et semble vouloir séduire un public plutôt jeune.
Avant de pouvoir critiquer l’histoire positivement ou négativement il faudra attendre la sortie du deuxième tome. Vous pouvez tout de même déjà lire celui-ci et vous faire votre propre opinion…

Par Julien Derouet, le 16 avril 2007

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