CARNETS SECRETS DE GUILLAUME BIANCO (LES)
Les seins

 
Guillaume Bianco aime les femmes, et s’il y a quelque chose qu’il apprécie en elles tout particulièrement, c’est leurs seins. Est-ce parce qu’inconsciemment, les "tétés" (comme il préfère les appeler) sont le symbole des premières forces que prend bébé pour pouvoir ensuite grandir et faire face ? Ou simplement parce quand il voit des bonnasses, il ne peut pas s’empêcher de se dire qu’il a trop envie de les peloter ?!
 

Par sylvestre, le 10 juin 2014

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Toute la BD, que de la BD !

2 avis sur CARNETS SECRETS DE GUILLAUME BIANCO (LES) #1 – Les seins

 
Le pouvoir de séduction des femmes doit énormément à leurs seins, c’est incontestable. (Et elles le savent bien !) Depuis la nuit des temps, les hommes le reconnaissent volontiers et ne tarissent pas d’éloges pour les généreux volumes des poitrines de celles qui leur ont tapé dans l’œil. Ils rêvent de ce que cachent les décolletés de celles qui en mettent ou parlent, poètes, des frissons qui les parcourent lorsqu’ils caressent ces hypnotisantes chairs rebondies. Oui, les seins jouent un rôle d’importance dans l’imaginaire et dans la sexualité : ils sont directement liés au physique, et à la beauté. Et pour faire court, on sait qu’au cinéma, dans les publicités ou dans les bandes dessinées, plus on voit de beaux nichons et plus on est sûr que "ça va marcher", que ça va se vendre…

Alors ni une ni deux, Guillaume Bianco s’engouffre dans la brèche (à moins qu’il ne s’y soit vu poussé ?) et met entre parenthèses ce qu’il sait faire de mieux pour nous livrer à la place une espèce d’exposé superficiel sur ces fameux seins qui le font – lui aussi – chavirer. Un peu dans l’esprit blog, il aborde le sujet sous différents angles mais le problème, c’est que le résultat se révèle absolument sans intérêt, sans surprise et sans originalité. L’auteur nous livre quelques souvenirs, quelques impressions et quelques fantasmes, mais c’est au milieu d’un bon nombre de pages qui ne sont là que pour faire la transition de manière plus ou moins convaincante. Il fait aussi plaisir à son directeur de collection en le faisant apparaître à plusieurs reprises. Mais en gros, ça s’arrête là. Pschitt ! Même pas drôle, même pas intéressant.

Alors ça oui, le titre est exprès accrocheur, exprès "rentre-dedans". On comprend que l’auteur ne va pas se prendre au sérieux et qu’on va (peut-être) bien rigoler. Mais l’auteur a dû rire tout seul. Car au-delà de ce titre et de ce qu’on pouvait en espérer, on a plutôt affaire à du tout venant vaguement racoleur. C’est sans âme, et c’est mal dessiné, par-dessus le marché. Avec cette BD, Guillaume Bianco rivalise de médiocrité avec Bastien Vivès qui, dans la même collection, dans ce même format, a lui aussi fait tout son possible pour décevoir ses fans.

Mais allez, on s’en fout ! Il y a des fans, justement ; il y aura donc des curieux… Des pigeons, qui lâcheront dix euros (aaargh) pour ça… et qui n’oseront pas s’avouer ensuite qu’ils ont fait une erreur en achetant ! Pfffffffff…

Et après on se plaint que les lecteurs n’achètent plus de BD ?! Faut voir ce qu’on essaye de nous refourguer, aussi, hein ! Un conseil, donc : à éviter absolument ! Pitié, ne marchez pas dans la combine ! Gardez vos sous pour des BD qui en valent la peine !
 

Par Sylvestre, le 10 juin 2014

C’est vrai que ça ne vole pas haut, ce n’est pas vraiment drôle et on sent l’exercice forcé.
J’ai vu Bianco, j’ai pensé à Billy Brouillard et à Ernest et Rebecca, du coup j’ai plongé, mais je me suis cogné, manque de profondeur.

Un petit reproche à Sceneario.com, vous m’énervez à commenter 1 à 2 mois en avance les titres de la série Block 109 qui sont super bon et là pour ce loupé, vous attendez 2 semaines après sa sortie… vous auriez pu me prévenir avant.

Par LittleCow, le 13 juin 2014

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