CARNETS D'ORIENT (LES)
L'année de feu

Paris 1871. Le lieutenant Victor Barthelemy défend la patrie contre l’armée prussienne. Il refuse de tirer sur le peuple, devient communard et se retrouve…propriétaire d’une terre confisquée en Algérie.
L’Algérie : ses paysages, son exotisme… sa femme en rêve depuis qu’elle a posé pour le peintre Joseph Constant. Hélas, ce sont plutôt la révolte, la trahison, le sang, le feu, l’incompréhension qui marqueront leur existence algérienne.

Par Valérie, le 1 janvier 2001

Notre avis sur CARNETS D’ORIENT (LES) #2 – L’année de feu

Dans ce deuxième tome, Ferrandez se joue d’une réalité disparue, évanouie. L’idée de démocratie se décline entre petites promesses et gros mensonges…déjà!
Nous sommes loin du regard neuf, ébloui de Joseph Constant. Ce ne sont plus les aquarelles, les annotations d’un carnet de voyage qui jalonnent ce tome, mais davantage les cris, les rancœurs, les espoirs, les rêves gangrenés, les trahisons, les contradictions et les confusions de chaque jour… les chagrins de l’histoire.
Un autre aspect de ce que peut être la BD, un ouvrage intéressant, enrichissant, un dessin en parfaite adéquation, beaucoup de travail à la fois sur le fond et sur la forme.
Dans la lignée du premier tome, c’est une très, très belle promesse de collection.

Par Valérie, le 16 septembre 2003

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