Les ailes de plomb #3 L'affaire est dans le lac

Résumé de l'album L'affaire est dans le lac

Sans s'en rendre compte, Patrick Plomb a dévié de sa trajectoire et donc de sa cible le Balbuzard. L'attentat a échoué. Il ne reste à présent plus qu'à faire disparaitre tous les indices qui pourraient compromettre les barbouzes, avant de disparaitre définitivement...

Par Aub, le NC

Notre avis sur l'album L'affaire est dans le lac

Hélas, mille fois hélas, voila la fin de ce superbe cycle. Dans ce troisième tome nous avons les réponses à toutes les questions que nous avions pu nous poser avec les opus précédents. Et c'est une bien belle conclusion que nous avons là. Le scénario est vraiment très bien mené et il tient à merveille la route. D'ailleurs je ne l'ai pas précisé dans mes avis précédents, mais cette série a été soutenue par Eric Ascensi, conseiller historique. Voilà une raison de plus de la qualité de cette histoire. En tout cas c'est toujours sur un fond de IV° république vacillante avec une Algérie en pleine ébullition que l'histoire se termine.
Petit regret cependant dans cette série, c'est à mon avis une fin qui aurait mérité un petit plus de développement. Je trouve que Gibelin va un peu trop vite dans la résolution de cette histoire. Mais il faut bien finir un jour.
Pour résumer, cette série vaut vraiment le détour, pour ma part, j'ai adoré et je ne peux que vous la conseiller.

Par Aub, le 17/05/2006

Les albums de la série LES AILES DE PLOMB

Questions à Olivier Taduc et Nicolas Barral pour Mon pépé est un fantôme

Sceneario.com : Bonjour Nicolas, Bonjour Olivier. Même pas un an après la sortie du premier tome de Mon pépé est un fantôme vous voici de retour avec cette seconde saison. Mais avant toute chose, pouvez-vous vous présenter ? Quel a été votre parcours ? Quelles ont été vos influences ?
Nicolas Barral : Après un BAC littéraire, j’ai passé un an à l’atelier BD des Beaux-Arts d’Angoulême où j’ai croisé Christophe Gibelin qui, quelques années plus tard, devait signer le scénario des Ailes de Plomb. A partir de 1991, j’ai fait mes premières armes dans la presse jeunesse et à Fluide Glacial jusqu’en 1996 où j’ai publié mon premier album chez Delcourt. Parmi les gens qui m’ont donné envie de faire ce drôle de métier, je place en tête de liste Goscinny, Uderzo et Morris, sans oublier Hergé, qui correspondent à mes lectures d’enfance et ont influencé la partie humoristique de mon travail [...]