TRIANGLE SECRET (LE)
L'infame mensonge

Après l’incendie de la bibliothèque de Martin Hertz, le fameux testament apocriphe n’est plus qu’une reliure cramoisie… Seul subsiste l’exemplaire que le Vatican conserve depuis la fin des Templiers Mais Ô stupeur, Didier, en observant la reliure, remarque que les Templiers avaient tout prévu : un plan caché, révélant l’emplacement du vrai tombeau de Jésus. Plan qui n’existent pas sur l’exemplaire du Vatican, et que seule la chaleur du feu a pu révéler.
Dès lors s’engage une nouvelle lutte entre Didier et à travers lui, la Loge Première de la Franc-Maconnerie, et l’Eglise Catholique et ses Gardiens du Sang, prêts à tout pour préserer le secret de cet « infâme mensonge », même à régler des comptes au sein même de l’Eglise…

Par PATATRAK, le 1 janvier 2001

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3 avis sur TRIANGLE SECRET (LE) #5 – L’infame mensonge

Encore un tome très réussi de la part de Convard et sa pléiade de dessinateurs : un rebondissement inattendu relance la quête du tombeau et place Didier Mosèle en position plus qu’inconfortable. L’étau se reserre sur lui, et sur la Loge Première, origine de la Franc-Maconnerie, fondée dit-on par Jésus lui-même…

Par PATATRAK, le 17 juillet 2002

Donc, mis à part la découverte astucieuse de ce plan caché le reste de l’intrigue n’avance qu’à taton. Néanmoins, c’est vrai, on est complètement pris par cette intrigue. Convard utilise la technique nombre de fois éprouvée « je vous dis, mais en fait je ne vous dis pas grand chose » qui permet de garder les lecteurs malgré une intrigue qui ne cesse de s’étirer en longueur ! Bon, on commence à avoir des soupsons sur certaines personnes de l’ombre mais autant continuer à jouer le jeu… D’autant plus que l’histoire prend un tour très interessant tout de même !

Par FredGri, le 29 août 2003

Au fur et à mesure qu’on avance dans le récit, on nous détaille un peu plus ce qui se passe chez l’ « ennemi » j’ai nommé le Vatican . Le secret que veulent révéler le jeune chercheur franc- maçon Didier Mosèle et son instructeur Martin Hertz. , ainsi que la 1ere loge de franc-maçonnerie menace la suprématie de l’église catholique.
Plus que jamais le Vatican apparaît comme un joli panier de Crabes. Et les luttes entre cardinaux ne sont pas sans rappeler certains épisodes de l’histoire de la papauté .

Esotérisme toujours…

On trouve encore des références ésotériques à foison . Je ne dirais que c’est lassant, mais enfin ça trop de mystère tue un peu le mystère tout de même. Et puis , le coup du palimpseste ou de l’encre sympathique, c’est un peu classique pour la recherche d’un trésor, fut il spirituel ! mais bon l’avantage, c’est qu’à présent, on est vraiment entré dans l’histoire et qu’on ne la lâche plus . On n’échappe pas au rituel flash back . là je dois bien avouer que celui là est mon préféré. Croiser Torquemada l’inquisiteur qui fit trembler toute la chrétienté est déjà assez bien vu. Mais revisiter sa mort c’est encore mieux !.

Côté obscur

Pourtant si Torquemada est évoqué, ce n’est pas un hasard. On sent le côté obscur de la force se rapprocher de plus . L’intensité dramatique croît . il faut dire qu’au rythme d‘un mort en moyenne par album , il ne saurait en être autrement . De plus énormément de scènes ont lieu la nuit ce qui confère évidemment une atmosphère peu rassurante. On sent nos héros traqués. Qu’on se le dise, en cherchant à réveiller le christ qui dort, on ne s’attaque pas à la belle aux bois dormant…

Par Lucania, le 15 août 2003

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