Le scorpion #12 Le mauvais augure

Résumé de l'album Le Mauvais Augure

Marie-Ange de Sarlat vient annoncer à Nelio Trabaldi que le Scorpion se rend sur les terres ancestrales des Trebaldis, au Chateau Tarquino. Nelio se met alors en route, sur la trace d'Armando qui voyage en compagnie du Hussard et de Charles, l'enfant qu'il a eu de sa liaison avec Marie-Ange. Un autre protagoniste est aussi sur leur piste...

Par Berthold, le 19/11/2019

Notre avis sur l'album Le Mauvais Augure

Il etait tres attendu ce douzième tome qui nous en donne pour notre argent.

En effet, Marini et Desberg nous offrent un récit plein du souffle de l'aventure, bourré de surprenants rebondissements.
Vous vouliez de l'action, vous en aurez ! Les combats à l'épée sont nombreux, ainsi que des trahisons et des coups tordus ! Ce tome réserve bien des surprises et des sensations ! Et forcément, je ne peux pas trop en dire sans dévoiler ce qui attend le Scorpion et ses amis !
En attendant, ce tome est à la hauteur de nos attentes, nous ne pouvons que nous demander ce qui pourra bien arriver pour la suite.

Marini est un grand artiste. Son trait et ses couleurs nous en mettent plein la vue. De magnifiques scènes nous attendent dans cet album. Il parvient à nous toucher de près.

Ce cycle s'achève en beauté. Le Scorpion reste une excellente série d'aventures et de capes et d'épées.

Par Berthold, le 19/11/2019

Les albums de la série LE SCORPION

Desberg et Queireix

Entretien avec Desberg et Queireix pour "MISS OCTOBRE" aux Editions LE LOMBARD durant le 40° Festival International de la BANDE DESSINEE d'Angoulême. (2013). Interviewer: Olivier
Images, son: Olivier et Mat
Montage: Olivier [...]

Interview vidéo d' Enrico MARINI à la galerie du 9° Art

Interview vidéo d' Enrico MARINI à la galerie du 9° Art, réalisée en Octobre 2009.
Interview réalisée par FEF pour Sceneario.com. [...]

Rencontre avec Enrico Marini

Sceneario : Comment êtes-vous venu à la bande dessinée ?
Marini : J'habite dans la Suisse alémanique et la bande dessinée ne fait pas partie de la culture. J'ai eu beaucoup de chance d'avoir une famille italienne et d'avoir passé beaucoup de mes vacances en Italie. J'aimais les bandes dessinées et ma grand-mère m'en achetait. Je lisais des fumetti (petits recueils en noir et blanc italiens). J'achetais aussi des Superman et des Batman dans les kiosques.

Je n'ai découvert la bande dessinée franco-belge qu'à l'âge de 12/13 ans, à part Astérix et Tintin que je connaissais depuis longtemps et qui faisaient partie de mes préférés, bien avant les comics. C'étaient des classiques on les trouvait même en Allemagne.

Je dessinais aussi de mon côté parce que j'aimais les dessins animés japonais. Je les suivais, un peu, par le club Dorothée qui était aussi diffusé en Suisse et j'essayais de recopier ce que je voyais [...]