Le scorpion #5 La vallée sacrée

Résumé de l'album La Vallée Sacrée

Le Scorpion aurait aimé découvrir la Cappadoce autrement qu’en tant que prisonnier. Mais il n’est pas homme à se laisser entraver par qui que ce soit, fusse un pape, un sultan ou un vulgaire brigand.
Dans sa quête de la croix de Saint-Pierre, il doit retrouver un chevalier du Saint Empire Germanique qui en connaît long sur le destin de la croix. Sa nouvelle piste le conduit vers la Vallé Sacrée, une région depuis longtemps abandonnée.
Mais le Scorpion n'est pas seul à tirer des plans sur la découverte de cette mythique relique. Ansea Lattal et Rochnan ont une toute autre idée de ce qu'ils feront de cette croix.

Par Eric, le NC

Notre avis sur l'album La Vallée Sacrée

Ce tome s’inscrit dans la continuité de la série en reprenant les éléments qui ont fait son succès : un dessin efficace et un histoire très prenante.
Ici tout est fait pour que le lecteur ne s'ennuie pas. Le graphisme très pur et efficace de Marini est au service d'une histoire qui ne cesse de prendre le lecteur à contre-pied. Au début de l'album on pourrait penser que le destin du Scorpion est cousu de fil blanc, mais les évènements deviennent vite inextricables. Le travail de documentation de Marini sur les combats et les costumes donne du crédit aux aventures du Scorpion.
Un fois cet album dévoré, on est un peu frustré mais aussi ravi. La frustration vient du fait que la fin arrive trop vite. Et l'on est ravi, car l'intrigue prend une nouvelle tournure pour redonner du piquant à une série qui n'en manquait pourtant pas.
Il faut maintenant s'armer de patience pour découvrir le prochain tome de la série.

Par Eric, le 14/11/2004

Les albums de la série LE SCORPION

Desberg et Queireix

Entretien avec Desberg et Queireix pour "MISS OCTOBRE" aux Editions LE LOMBARD durant le 40° Festival International de la BANDE DESSINEE d'Angoulême. (2013). Interviewer: Olivier
Images, son: Olivier et Mat
Montage: Olivier [...]

Interview vidéo d' Enrico MARINI à la galerie du 9° Art

Interview vidéo d' Enrico MARINI à la galerie du 9° Art, réalisée en Octobre 2009.
Interview réalisée par FEF pour Sceneario.com. [...]

Rencontre avec Enrico Marini

Sceneario : Comment êtes-vous venu à la bande dessinée ?
Marini : J'habite dans la Suisse alémanique et la bande dessinée ne fait pas partie de la culture. J'ai eu beaucoup de chance d'avoir une famille italienne et d'avoir passé beaucoup de mes vacances en Italie. J'aimais les bandes dessinées et ma grand-mère m'en achetait. Je lisais des fumetti (petits recueils en noir et blanc italiens). J'achetais aussi des Superman et des Batman dans les kiosques.

Je n'ai découvert la bande dessinée franco-belge qu'à l'âge de 12/13 ans, à part Astérix et Tintin que je connaissais depuis longtemps et qui faisaient partie de mes préférés, bien avant les comics. C'étaient des classiques on les trouvait même en Allemagne.

Je dessinais aussi de mon côté parce que j'aimais les dessins animés japonais. Je les suivais, un peu, par le club Dorothée qui était aussi diffusé en Suisse et j'essayais de recopier ce que je voyais [...]