SCORPION (LE)
Tamose l'egyptien

Cracovie, en Hiver 1765. Celui que l’on surnomme le Cosaque Juif, doit, à tout prix, préserver l’identité d’un homme dont le nom doit disparaitre à tout jamais.
Istanbu, en Turquie. Armando Catalano retrouve enfin la piste de Méjaï. Tout ce qu’il veut connaitre, c’est ce qu’est devenu leur enfant.
Empoisonné par la gitane, le Scorpion qui reprend ses esprits, découvre qu’il est accusé de meurtre. Il est alors conduit auprès du sultan. Mais, grace à l’aide d’un eunuque, au service d’une femme que l’on nomme la Sabbatéenne, il peut se sortir de ce pétrin. Cette dernière demande à Catalano de l’aider à déchiffrer le nom d’un homme gravé sur des stèles égyptiennnes. En retour de ce service, elle lui donnera un coup de main pour retrouver Méjaï…

Par berthold, le 8 décembre 2020

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Notre avis sur SCORPION (LE) #13 – Tamose l’egyptien

Nous retrouvons le Scorpion pour une nouvelle aventure en Turquie, à la recherche de Méjaï et de leur enfant.

Desberg et Marini proposent une nouvelle intrigue dans de nouveaux décors, et de nouveaux personnages. Et la réussite, c’est ce mysterieux "cosaque juif" ou le "juif albinos". Un nouveau méchant qui s’impose d’entrée, tout en gardant une bonne part de mystère.
Ce récit démarre plutôt bien et rserve de bonnes surprises. Cette aventure nous conduit sur les terres d’Egypte. Les auteurs renforce le mystère autour de Tamose, dont le nom semble être la cause de plusieurs morts violentes. Le mystere autour de l’enfant de Mejaï et du Scorpion reste préservé à la fin de l’album. Du coup, on a très envie de lire la suite.
Ce nouveau cycle tient toutes ses promesses avec un récit d’aventure exceptionnel.

Et à nouveau cycle, nouveau dessinateur.
Marini laisse sa place au dessin. Les scénaristes ont trouvé chaussure à leur pied avec Luigi Critone, qui est bien connu des amateurs de bande dessinée. Il s’adapte facilement à l’univers du Scorpion. Son travail est remarquable, il ne copie pas le style Marini, mais garde le sien, tout en restant dans la cohérence amenée par son prédécesseur. Les planches sont belles et lumineuses. Il parvient à rendre majestueux les déserts d’egypte. Il rend vivante cette mer que traverse le Scorpion. Il donne du rythme et quelles belles scènes d’escrime et de combat.

Ce tome 13 est une très bonne lecture, un bon récit d’aventure qui dépayse totalement. A lire !

 

Par BERTHOLD, le 8 décembre 2020

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