RETOUR A LA TERRE (LE)
Le vaste monde

Ca y est, Mariette est enceinte. Ce qui angoisse notre ami Larssinet. Les dictons de Mme Mortemont, la visite des beaux-parents…tout cela n’arrange pas les choses…

Par berthold, le 1 janvier 2001

2 avis sur RETOUR A LA TERRE (LE) #3 – Le vaste monde

Ce troisième tome est encore un vrai régal. Cela faisait un moment qu’une bande dessinée ne m’avait pas autant fait rire. Merci Messieurs Ferri et Larcenet.
Quel plaisir de lire ce tome 3.
L’angoisse de la paternité qui ennuie Larssinet, ne l’a t’on point connue quand on est devenu père pour la première fois ?
Quel plaisir aussi de retrouver Mme Mortemeont, Monsieur Henri, l’ermite, Esope et Hector, de faire la connaissance des beaux parents, de Dondup qu’il rencontre à un festival BD…
Certains strips m’ont fait et me font toujours mourir de rire : le strip 203 avec le fan dans le train…rien que voir la tête de Larssinet case 6, rien que ça, ça vaut l’achat de ce livre. Ou de voir la vieille Mortemont feuilleter le tome 1…! Mort de rire je vous dis !
Mais il ya aussi de l’émotion car un 20 décembre à l’aurore…
Mais ça, je vous laisse le découvrir par vous-mêmes.
N’hésitez pas, lisez ce tome 3, vous ne le regreterez pas !

Par BERTHOLD, le 24 janvier 2005

Comme à chaque album, Larcenet nous prend là où ça chatouille.
Un peu pour l’humour, un peu pour la dérision et beaucoup pour la franchise sur nos pensées intimes. Il faut dire que la description de la vie vue par Larcenet est un bijou de clairvoyance. Pertinent et sensible jusqu’au bout des bulles il raconte les scènes vécues telles quelles.
Dans cet album, il dessine la paternité. Mais pas de panique, il n’est pas fuyant. Au contraire, il est un mari inquiet et attentif et il devient un papa poule, c’est drôle, touchant, attendrissant. Quel bonheur ! Finalement, avec un tableau pareil on se dit que la vie vaut bien le coup d’être vécue !
Malgré tout, au passage il n’hésite pas à égratigner deux/trois systèmes préétablis obligatoires avec port du costume-cravate et remise de prix. La tendresse c’est bien, mais quand on s’appelle Manu Larcenet, il ne faut pas oublier de s’insurger contre le serpent monétaire.
Bravo bien sûr pour cet énième album réussi. Il est subtil et tendre, tout comme la couverture aux couleurs claires qui en dit long sur l’importance de ses sentiments.
Merci encore une fois de nous avoir donné un peu de douceur, mode câlin on !

Par MARIE, le 31 janvier 2005

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