MEILLEUR JOB DU MONDE (LE)
L'île Carpenter

Etre sélectionné pour aller sur une île paradisiaque et y exercer le rôle de gardien pour un salaire de 150 000 dollars, voilà de quoi être certain d’avoir décroché "Le meilleur job du monde". C’est ce qui arrive à Doug Ellis, jeune trader londonien.
Magnifique villa, terrain de golf, piscine, océan, vue imprenable, calme, silence… et si le rêve tournait au cauchemar ?

Par aub, le 6 janvier 2012

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Notre avis sur MEILLEUR JOB DU MONDE (LE) #1 – L’île Carpenter

En 2009, l’État Australien du Queensland, dans le cadre d’une campagne de promotion touristique, avait proposé quelques 150 000 dollars (Australiens, soit environ 76 000 euros) pour exercer LE MEILLEUR JOB DU MONDE… La mission consistait à s’occuper d’une l’île en réalisant quelques travaux d’entretien, en se baladant sur les plages, explorer les fonds sous-marins, et tenir au courant le monde entier de la vie sur place en mettant à jour un blog avec photos et vidéos.
Ce nouveau scénario de Christophe Bec est donc largement inspiré de cette histoire vraie.
Très vite, les évènements nous éloignent du rêve et nous plongent petit à petit dans un cauchemar. Comme à son habitude, Christophe Bec réussit à nous faire descendre tout doucement vers la peur et nous emporte dans l’horreur. Cette horreur qui peut être tellement réelle qu’elle nous fait frissonner et nous donne des sueurs froides.
Doug Ellis, homme de raison, va tenter de tout faire pour ne pas tomber trop vite dans la folie, mais les évènements se précipitent et les explications plausibles se font de plus en plus difficiles à trouver. Malgré l’interdiction formelle de la propriétaire des lieux, Doug va alors décider d’aller ouvrir la porte d’une pièce de la maison… la curiosité de Doug n’est que le reflet de la nôtre.
Evidemment, nous savions que Christophe Bec nous montrerait ce qui se cache dans cette pièce, mais cela arrive à l’exact moment dans l’histoire ou le lecteur se posait la même question. Un peu comme si Doug était nous, ou comme si nous étions à la place de Doug.
Les évènements deviennent trop lourd à supporter et il faut absolument trouver des explications rapidement pour ne pas sombrer dans la folie douce.

Rafa FONTERIZ, le dessinateur, signe là son premier album aux Editions Soleil. Avec un trait clair, précis, et dynamique, l’ensemble de l’album est très réussi. La fluidité des planches, les couleurs et l’ambiance sont au rendez vous de cette nouvelle série qui va certainement devenir la nouvelle grosse production de Christophe Bec…

Par AUB, le 8 janvier 2012

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