MARQUIS D'ANAON (LE)
La bête

Réfugiés dans une salle du village, tous les habitants remercient les soldats de venir enfin les délivrer de la bête. Personne n’a encore déterminé de quel monstre il s’agissait mais il les terrorise et tue tout être vivant sur son passage.
Le marquis d’Anaon est encore une fois confronté à un démon. Est-ce que cette fois, l’un chassera l’autre ? Les souvenirs et la réalité se croisent et la présence de Xavier, le capitaine et ami de Jean-Baptiste, va être salvatrice.

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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2 avis sur MARQUIS D’ANAON (LE) #4 – La bête

Ah, le nouveau Bonhomme !
Ah, le nouveau Velhmann !!
Ah, le nouveau "Marquis d’Anaon" !!!
Chaque nouveauté de Bonhomme est une bonne surprise.
Chaque nouveauté de Velhmann est une bonne surprise aussi.
Chaque nouveau tome du "Marquis d’Anaon" surpasse les précèdents.
C’est toujours un plaisir d’ouvrir un des titres de Bonhommeau dessin que ce soit cette série, le "voyage d’Esteban" ou "Messire Guillaume".
La précision de son trait, la minutie du détail, le talent qu’il a font que l’on est pas déçu. Cette série l’inspire.
Le scénario de Velhmann est certes sombre mais c’est aussi une aventure humaine, une découverte de soi.
On découvre même des choses sur le passé de Jean-Baptiste.
Un Jean-Baptiste marqué par l’épisode précédent et qui ne retrouve le moral, la pêche dirons-nous que lorsqu’il est au contrée du "monde", lorsqu’il est sur le territoire de la Bête.
C’est aussi un récit fantastique avec ces légendes, ces contes.
Le spersonnages sont toujours magnifiquement écrits que ce soit les seconds rôles ou les principaux.
Le spaysages sont superbes surtout vers la fin dans la montagne enneigée : cela crée une atmosphère, une tension.
Un grand moment de la bande déssinée.
Une série qu’il faut découvrir.

Par BERTHOLD, le 2 septembre 2006

Première impression ainsi que les suivantes : quel talent ! Matthieu Bonhomme ne cesse de progresser. Son dessin est solide, les détails sont précis, les traits sont fins et sans défauts et son ami Delf le met en valeur avec des couleurs toujours en accord parfait. L’album se lit vite mais se regarde longtemps. Le paradoxe chez Matthieu Bonhomme tient sans doute dans sa manière de dessiner de façon assez concise avec un premier visuel où le regard semble glisser tout seul mais qui finalement est retenu sur la case bien plus longtemps que l’on pensait.

L’histoire est classique comme le sont les contes et légendes, apportant tout autant l’étonnement, la peur, le suspense et le plaisir. L’ensemble fait de cet album un nouvel épisode réussi des aventures du Marquis d’Anaon sans oublier la narration subtile de Vehlmann qui joue souvent et avec succès avec la corde sensible, n’oubliant jamais la touche poétique, jouée cette fois par le héros émerveillé devant une fleur. Respiration !
Voilà donc une série qui semble bien partie pour s’imposer et qui concilie parfaitement classique et nouveauté

Par MARIE, le 30 août 2006

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