MAÎTRE DES LIVRES (LE)
Volume 7

Alors qu’il accompagne, un peu contraint et forcé, un collègue dans un bar, Miyamoto a la surprise de rencontrer une hôtesse qui ressemble comme deux gouttes d’eau à Kanda. Il pense même avoir affaire à elle pendant quelques secondes. Mais la jeune femme lève lève toute méprise en lui expliquant qu’elle s’appelle Sanae et qu’il la confond certainement avec sa petite soeur, Mizuho. Elle fait jurer à Miyamoto de garder le secret sur ce boulot d’hôtesse qu’elle fait de temps à autre pour dépanner la patronne du bar, une amie à elle.

Lorsqu’il retourne à la bibliothèque de la Rose Trémière, Miyamoto fait donc comme si de rien était lorsqu’il parle avec Kanda. Mais les choses se compliquent lorsque Sanae débarque au même moment.

Par legoffe, le 21 avril 2016

Publicité

Notre avis sur MAÎTRE DES LIVRES (LE) #7 – Volume 7

Avec ce nouvel épisode, nous découvrons un nouveau personnage, Sanae, jeune femme pétillante et assez expansive, l’inverse donc de sa soeur, la timide Mizuho. L’occasion de mettre « l’amoureuse » de Miyamoto en avant, mais également d’apporter un peu de piment – et donc d’humour – dans les relations entre Kanda et Miyamoto.

L’auteur profite, bien sûr, des relations entre ces personnages pour aborder différents aspects de la littérature enfantine. Ici, une des questions posées (par Sanae) est « pourquoi les ainés sont toujours les mauvais dans les contes. »

L’histoire suivante aborde des thèmes de la vie à travers le livre « Le wagonnet », de Ryûnosuke Akutagawa. Une approche originale pour guider un militaire qui souhaite se reconvertir, angoissé par son avenir.

Comme toujours, ce manga déborde d’humanité. Certes, l’intérêt peut être un brin inégal d’un épisode à l’autre, mais la sympathie dégagée par l’ensemble des personnages nous offre un univers chaleureux, le tout joliment dessiné par Shinohara. Le lecteur, dès lors, n’a qu’une envie : pousser à nouveau les portes de la Bibliothèque de la Rose Trémière.

Par Legoffe, le 21 avril 2016

Publicité