LARGO WINCH
Chassé-croisé

En déplacement à Londres pour présider le Big Board du Groupe W, Largo Winch a bien l’intention de conclure un joint venture avec la Branche Aéronautique de son groupe contre l’avionneur Français Laurent Draillac.
Ce n’était sans compter sur des terroristes djihadistes, des agents diubles et des espions peu scrupuleux qui sont bien décidés à perturber ces réunions de travail…

Par aub, le 13 novembre 2014

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Notre avis sur LARGO WINCH #19 – Chassé-croisé

Il y a des séries comme Largo Winch, qui n’ont plus besoin d’être présentées. Elles sont tellement connues qu’indéniablement le succès sera au rendez vous et tous les passionnés de la première heure répondront présents.
Rien de péjoratif dans mes propos, mais Largo Winch est en quelque sorte la BD de gare, en comparaison avec le roman de gare… Vous savez, ce roman qu’on achète parce que l’on a un petit voyage à faire, qu’on se prend au dernier moment à la librairie de la station. Largo Winch fait parti de ses Bandes Dessinées qui aujourd’hui ont leur place bien au chaud dans tous les rayons des librairies, des hyper et super marchés, mais aussi de nos bibliothèques.

Tout le monde attend le dernier Cohen ou le dernier Musso, et dans le monde de la BD nombreux sont ceux qui attendent (entre autre) le dernier Largo Winch. Moment de détente assuré, moment de lecture dévoré, happé comme dans chaque tome par une histoire romanesque aux rebondissements incessants, le 19° opus est une fois de plus à la hauteur de nos attentes.
Nombreux seront aussi les détracteurs, qui diront qu’il s’agit là d’une BD grand publique et que les ventes vont rendrent encore un peu plus riches les Auteurs et l’Editeur… Et alors, leur répondrais-je…  Si au moins ce fond de commerce permet de faire éditer d’autres albums et de faire vivre quelques autres Auteurs.

En tout cas, ce 19° opus est une belle réussite, Largo Winch ne faillit pas et ne nous décoit pas. L’histoire est menée branle bas de combat, à chaque page il y a des rebondissements, des trahisons… Jean Van Hamme réussit un subtile mélange de géo-politique dans un univers machiavélique.

Par AUB, le 13 novembre 2014

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