LADY AND BUTLER
Tome 4

Ryô veut faire un cadeau à Hakuô pour le remercier de tout ce qu’il fait pour elle. Elle décide de lui acheter un stylo-plume pour remplacer celui qu’il vient de casser. Mais devant le prix, elle se voit obligée de prendre un petit boulot : serveuse dans un salon de thé spécialisé dans les tartes. Dans le même temps, le mentor de Hakuô, Harumi Sakisaka, célèbre majordhomme, vient faire une conférence à l’académie Sôseikan. C’est lui qui a donné à Hakuô l’envie d’intégrer la classe B ! Sera-t-il lui aussi surpris des relations entre Hakuô et Ryô

Par boukrou, le 3 octobre 2011

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Notre avis sur LADY AND BUTLER #4 – Tome 4

Lady and Butler fait partie de ce genre de shojo dont on se lasse très vite tant l’histoire est cousue de fil blanc. On assiste malgré tout à "quelques chamboulements" comme le disait PEK dans son avis sur le tome 3; on a désormais l’impression que ça y est, l’histoire se lance enfin après une longue présentation des personnages et de leur relation.

Notre héroine va donc entrevoir un bout de la vie d’adulte. Elle veut faire un cadeau à Hakuô pour le remercier d’être aussi attentionné envers elle. Outre l’idée assez étrange pour une fille de 16 ans d’offrir un stylo-plume, elle se retrouve confrontée à un soucis de dépense. N’ayant pas la somme nécessaire, elle décide de prendre un petit boulot. Sans avoir cherché, ni même avoir les compétences requises, elle trouve un poste de serveuse.
Entre temps, on fait la connaissance de Sakisaka, mentor d’Hakuô, et l’origine de la vocation de majordome d’Hakuô. On découvre alors des sentiments un peu différents de ce qu’on a l’habitude de voir tel que la rivalité entre l’élève et son maître.

Au niveau du dessin, il n’y pas vraiment d’évolution. On reste sur un style très caractéristique des shojo avec les habituels petits coeurs et petites fleurs qui envahissent les planches. Ceci étant, la lecture reste agréable et en ce sens on fait moins attention à ce genre de choses.

Ainsi, ce tome s’inscrit-il dans la continuité de la série. Pas de quoi en faire tout un pataques, mais qui sommes toutes ravira les fans du genre.

Par boukrou, le 3 octobre 2011

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