ROUE (LA)
Les 7 combattants de Korot (2)

Alfred Chester cherche toujours à retourner sur Arkham. L’impératrice Léona fait rappeler Ana qui était parti dans un monastère pour devenir prêtre de Korot car la situation empire. De nouveaux ennemis, les Zlooums attaquent les royaumes et transforme les victimes en morts vivants. Ea, une prêtresse d’Arthinia sauve Roudjero, un voleur indépendant, de la guilde de voleur qui élimine ceux qui ne payent pas la taxe. Elle pense qu’il est un des sept combattants de Korot dont parle la prophétie et l’envoie chercher le symbole sacré dont parle la prophétie.

Par fef, le 1 janvier 2001

Notre avis sur ROUE (LA) #3 – Les 7 combattants de Korot (2)

Comme dans l’album précédent, on découvre deux nouveaux personnages. Tout en laissant de côté les personnages présentés dans les tomes précédents. Plus j’avançais dans la lecture de cet album, plus je repensais à toutes les parties de jeux de rôles (surtout AD&D) auquel j’ai participé. La guilde des voleurs qui poursuit les voleurs indépendants. Il y a surtout la partie dans le temple où le prêtre ‘retourne’ les morts vivants pour protéger le voleur pendant que celui ci cherche les pièges avant de les désamorcer pour arriver au trésor.

En prenant Alfred Chester, Ana (revu dans ce tome), Ïlsa, Guïlgam, Roudjero et Ea, on arrive à 6 personnages. Il en manque encore un pour arriver aux 7 combattants de Korot. Parmi les 6 personnages présentés, on retrouve vraiment les archétypes de personnages de jeux de rôle (nain guerrier, voleur, prêtre, …). Je dirais que l’on est encore dans l’introduction de l’aventure/quête. Celle ci devrait réellement commencer dans le prochain tome après l’arrivée du dernier personnage.
Car en plus d’avoir pris le temps de bien présenter chaque personnage, le monde, à lui aussi, est présenté dans les trois premier tome. Mais pour un monde médiéval fantastique, il y a beaucoup d’éléments très étranges comme le manège avec la grande roue, il y a aussi les Zlooums qui semblent très avancé technologiquement. Cela se voit surtout sur les chevaux et les armes.

Le dessin en couleur directe s’affine de plus en plus et devient moins ‘figé’ avec les tomes. J’ai beaucoup aimé les scènes d’actions comme la bagarre de rue ou l’exploration du temple. On retrouve aussi le même code sur les couleurs. Le monde moderne a des couleurs ‘froides’ et métallique et le monde médiéval a plus souvent des couleurs ‘chaudes’.

Par Fef, le 12 décembre 2003

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