IMMANQUABLE (L')
06.2011

Comment voyager dans le temps, dans divers pays, dans la littérature, dans l’Histoire ?
Tout cela est possible ce mois-ci grâce à L’Immanquable qui vous propose l’adaptation de Dorian Gray par Corominas, du royaume de Borée de Raspail par Jacques Terpant, la fin des Longues Traversées de Giraudeau et Cailleaux, mais aussi Le service par djian, Legrand et Paillou, New York 1947 de Brugeas et Toulhoat, Airborne 44 de Jarbinet ou encore la seconde partie d’Une nuit de pleine Lune d’Yves H. et Hermann.

 

Par berthold, le 4 juillet 2011

Notre avis sur IMMANQUABLE (L’) #6 – 06.2011

Que de bonnes choses "immanquables" dans ce numéro 6 du magazine conçu par Frédéric Bosser.

Tout d’abord, nous allons être enchantés de retrouver l’univers de Jean Raspail et Jacques Terpant après Les 7 cavaliers, avec Le Royaume de Borée où vous serez sous le charme des planches et du récit. Si vous avez aimé Les 7 cavaliers, vous ne manquerez pas ce rendez vous.
Vous connaissez Block 109 ? Brugeas et Toulhoat continuent d’œuvrer dans cet univers avec New York 1947, un survival qui d’entrée vous mettra la chair de poule. Je suis déjà accro.
Philippe Jarbinet entame un nouveau cycle avec Airborne 44 et au vu des premières planches, vous allez adorer, je vous le dis !
Autre début prometteur et prenant, c’est Le service imaginé par Djian et Legrand, mis en images par Paillou. Là aussi, les premières pages vous prennent et vous emportent.
Cailleaux conclue en beauté ses Longues Traversées sur un scénario du regretté Bernard Giraudeau. Lors de la dernière case, j’ai eu le moment émotion en pensant qu’il n’y aurait plus de scénarios signés Giraudeau (j’avais beaucoup aimé son R97 par exemple), mais nous retrouverons avec grand plaisir Christian Cailleaux sur d’autres titres.
Frisson aussi avec Une nuit de pleine-lune de Yves H à l’écriture et Hermann au dessin. du bon polar bien noir et bien glauque.
Nous poursuivons aussi l’adaptation de Dorian Gray par Enrique Corominas. Là, cette deuxième partie, vous en met plein la vue une nouvelle fois, vous verrez.
Henri Filippini vous parle aussi des one-shots dans la BD. J’aurais aimé que ce dossier soit plus consistant, plus long.

L’Immanquable mérite bien son nom. La revue vous propose du matériel de qualité qui saura vous séduire par ses divers récits.

 

Par BERTHOLD, le 4 juillet 2011

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