HOMME QUI N'AIMAIT PAS LES ARMES A FEU (L')
Le mystère de la femme araignée

Tim Bishop aide Margot de Garine a tenter de trouver l’Indien. Byron, Peck et Knut Hogaard ont pris le chemin du Spider Rock pour retrouver aussi ce fameux Indien. Mais Tim se retrouve dans le désert, à pied, sous le soleil. Il finit par croiser le chemin de l’Indien, blessé. Ils font alors route ensemble, surtout qu’il a aussi des mules à sa disposition. L’Indien lui raconte sa vie…

 

Par berthold, le 26 mai 2014

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Notre avis sur HOMME QUI N’AIMAIT PAS LES ARMES A FEU (L’) #3 – Le mystère de la femme araignée

La série "L’homme qui n’aimait pas les armes à feu" est un beau et intelligent western.  Wilfrid Lupano réalise ici une belle saga d’aventure originale et entrainante.

En effet, dès les premiers tomes, il nous séduit avec les aventures de ces divers personnages qui s’associent, se séparent, se poursuivent, se retrouvent, se quittent sous le soleil torride de l’ouest.
Ce nouvel opus, intitulé "Le mystère de la Femme Araignée" est un excellent cru aussi.  
Je me suis régalé à lire ce récit qui tient toute ses promesses. Le lecteur passe un excellent moment. Ce n’est que du plaisir de suivre les péripéties de ces differents trublions. Lupano dénonce aussi quelques vérités au sujet de l’Amérique avec quelques scènes et dialogues bien choisis.
Ainsi, nous découvrons le destin des jeunes navajos qui furent "éduqués" par des religieux (ici, des bonnes soeurs). Lupano aborde aussi le thème de la ségrégation raciale avec l’histoire de William. Mais il y a aussi de l’action et quelques "gunfights" dans cette nouveauté.

Le dessin de Paul Salomone est toujours aussi bon. Ses planches sont embellies par le travail du coloriste Simon Champelovier. Ensemble ils nous font sentir l’ambiance et l’atmosphère de ce western particulier. On sent bien aussi la chaleur lors de la scène où Tim traverse le désert, par exemple. Salomone fait très bien ressortir les émotions des héros. Ainsi, l’humour ressort parfois, juste avec un regard ou une attitude d’un des personnages.

Ah, vivement la suite dans le (malheureusement) dernier tome de cette saga de L’homme qui n’aimait pas les armes à feu ! Un titre idéal pour un western original qui, finalement, donne aussi ces lettres de noblesses au genre.
A ne pas manquer !

 

Par BERTHOLD, le 26 mai 2014

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