L' ETRANGLEUR - NESTOR BURMA : BOULEVARD...OSSEMENTS
Numéro 1

Ce jour de printemps, c’est un peu la fête à l’agence Fiat Lux. Burma et Hélène dansent et s’offrent le champagne pour arroser leur billet gagnant à la loterie. Mais ce moment joyeux est vite interrompu par un coup de sonnette. Un homme attend pour voir le détective. Burma le reçoit. Il se nomme Omer Goldy, un diamantaire de la rue Lafayette qui voudrait embaucher le détective pour prendre des renseignements sur un certain Pou Tchang-Pou, un restaurateur de la rue de la Grange-Batelière.
Au grand désarroi d’Hélène qui se voyait prendre des vacances, Burma accepte. Ensemble, ils se rendent dans le restaurant de Tchang-Pou. Burma laissant sa secrétaire à table, il part fureter dans les bureaux au dessus du restaurant. Ce qu’il découvre n’est que le début de nouvelles sources d’ennuis…

 

Par berthold, le 12 avril 2013

Notre avis sur L’ ETRANGLEUR – NESTOR BURMA : BOULEVARD…OSSEMENTS #1 – Numéro 1

Le journal L’Etrangleur refait son apparition chez vos libraires !

Cela faisait un moment que nous n’en avions pas vu d’aventures de Burma en magasin. Cela manquait, je trouve. J’aime beaucoup ce format.

Et puis, en ce mois d’avril 2013, quelques semaines avant la sortie du nouveau titre de la collection Nestor Burma, on peut découvrir en exclusivité et en trois numéros la nouvelle enquête de Nestor Burma, d’après Léo Malet : Boulevard…Ossements.
Après Emmanuel Moynot, c’est autour de Nicolas Barral (Les aventures de Philip et Francis, Baker Street et Mon pépé est un fantôme) de reprendre le flambeau et d’adapter l’oeuvre de Léo Malet.
Déjà, dès la première page, on sait que c’est une bonne surprise de suivre cette enquête.
D’entrée, j’ai accroché. D’entrée, on est embarqué dans la nouvelle mission de Nestor Burma.

L’intrigue démarre bien dans ces premières pages. C’est rythmé, il y a de l’humour – ah, les scènes avec Hélène sont fort réussies -, il y a de l’action et du suspense. Nous retrouvons aussi les compères habituels du détective tel que Zavatter.
L’ambiance est toujours au rendez vous.

Je me posais la question de savoir ce qu’allait donner le trait de Barral sur Nestor Burma. Ma foi, c’est vraiment du très bon travail. Le format journal de L’Etrangleur vous permet d’apprécier justement à sa juste valeur son dessin. Hélène a beaucoup de charme sous son coup de crayon inspiré. Il arrive à faire revivre le Paris de l’époque et à donner aux divers personnages croisés dans ce récit de bonnes têtes. La scène dans le bistrot vers la fin de ce numéro est un grand moment.

Alors, profitez de l’occasion et du prix attractif pour vous procurer ce premier numéro de L’Etrangleur spécial Nestor Burma : Boulevard… Ossements. Un numéro à ne manquer pour rien au monde !

 

Par BERTHOLD, le 12 avril 2013

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