L'EMPREINTE DU MAL
Tome 1

Zen est l’ennemi numéro un. Avec pour seul crédo de faire ce qu’il veut et avec ses faits d’armes qui l’ont vu tenir tête même aux mafias les plus redoutables, il est l’homme, en république du Galley, dont la tête est la plus généreusement mise à prix…

Il se définit lui-même comme représentant du Mal, mais cela ne l’empêche pas d’exercer une grande fascination sur les tueurs à gages lancés à ses trousses ou sur les otages qu’il prend !

Qui est-il vraiment ? Qu’a-t-il fait dans ce passé duquel une amnésie l’a coupé, et en quoi la situation politique entre la république du Galley et Amata peut-elle être associée à son histoire ?
 

Par sylvestre, le 12 août 2009

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Notre avis sur L’EMPREINTE DU MAL #1 – Tome 1

Le texte de la quatrième de couverture commence par planter le décor socio-politique alors que la BD elle-même part plutôt dans une action détachée des relations qui existent entre la république du Galley et Amata. (On souligne à toutes fins utiles que l’ordre des chapitres est différent de celui qui avait été choisi lors de la prépublication de la série, au Japon)

Et puis, peu à peu, grâce à l’identité des personnages que va croiser Zen, ce contexte politique va émerger, sans qu’on ait toutefois des explications claires sur là où l’auteure veut nous emmener. Les chapitres qui auraient pu mettre en scène le héros dans des situations complètement indépendantes vont vite se révéler très liés, ce qui est une bonne chose puisqu’ils garantissent une continuité, une cohésion, avec des éléments dont l’hétérogénéité assure alors l’originalité.

L’empreinte du Mal reste, au stade de ce tome 1, comme l’est Zen : mystérieuse… On a donc encore du mal à savoir ce qu’on doit en penser, mais la construction du scénario, ses articulations, et le fait que la série soit un diptyque, permettent de rassurer les lecteurs quant au risque qu’ils courent à se lancer dans la découverte de ce manga.
 

Par Sylvestre, le 12 août 2009

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