L'EMPREINTE DU MAL
Tome 2

En quête d’éléments sur son passé dont il n’a plus aucun souvenir, Zen va retrouver celle qu’il appelait sa grande sœur. Celle-ci va lui fournir des bribes d’informations qui vont peu à peu réveiller sa mémoire. Puis Zen va se rendre compte qu’il devient la proie de troubles à chaque fois qu’il est sur un lieu qui l’a concerné jadis. Ce qui va l’aider. Son passé de combattant d’élite va alors émerger, petit à petit. Il va recomposer son histoire, son identité, pièce par pièce, comme un puzzle, et le témoignage de Kirie qui a été lancé à ses trousses va terminer de lui apprendre qui il est, qui il fut, et comment sa vie fut liée à l’histoire de Galley…
 

Par sylvestre, le 5 octobre 2009

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Notre avis sur L’EMPREINTE DU MAL #2 – Tome 2

Dès les premières vignettes, on est mis dans les pas de Zen qui se/nous dirige vers un début d’explication à sa condition. On n’en attendait pas moins après que le premier tome nous ait pas mal laissé dans le flou, et parce que ce second opus est aussi… le dernier du diptyque ! Malheureusement, et malgré les forts éclaircissements qui nous seront servis, on n’aura pas l’impression d’avoir les réponses à toutes les questions qu’on se posait. En cela, il y a un certain fossé entre le Zen du tome 1 et celui du tome 2, le seul véritable lien entre les deux étant qu’il a reçu une formation d’élite et qu’alors, on veut bien comprendre comment il a pu, jusque là, s’imposer comme un adversaire redoutable même face à des mafias bien organisées et sans scrupules.

Ce qu’on retiendra plus particulièrement de ce manga, peut-être, ce sont les similitudes du contexte qu’on détectera avec la série XIII… Il y a la perte de mémoire du héros. Il y a aussi des pays imaginaires mais souhaités réalistes. Et il y a enfin ces histoires de bataillons d’élite et de services secrets qui rapprochent L’empreinte du mal de la série de Van Hamme et Vance. La remarque que l’on se fera alors, c’est que si ce manga avait été traité sur de plus nombreux tomes, il aurait pu proposer une histoire plus profonde, plus fouillée, certes… Mais il aurait alors aussi été probablement beaucoup plus compliqué et déroutant qu’il ne l’est déjà. Et, n’est-ce pas ce qui avait fini par être reproché à XIII ?!
 

Par Sylvestre, le 5 octobre 2009

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