KRAN
la princesse viagra

Kran se trouvant toujours au mauvais endroit au mauvais moment, vient de tuer deux démons qui attaquaient une caravane de paladins. Cela énerve la Mort qui ne peut rien contre Krän. Et si cela ne suffisait pas, le destin lui envoie tous les morts prématurés dus à Krän. C’est l’évènement de trop pour la Mort qui a beaucoup de travail à cause de nouveaux règlements concernant le trépas. Elle cherche donc un moyen de se débarrasser de Krän. Felony a une idée. La caravane de paladins escortait une princesse. Avec le concours de Destin, cela offre deux possibilités.
Première possibilité : Si Krän devient paladin au service de la princesse, il n’est plus considéré comme le fils du roi.
Deuxième possibilité : il faut que la princesse reste vierge jusqu’à son mariage et connaissant le barbare cela va être dur.

Par fef, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur KRAN #7 – la princesse viagra

C’est un tome 7 qui reprend bien la série après la petite pause encyclopédie du tome 6. On retrouve tous les personnages des tomes précédents (Kran, Kunu, le garou, la Mort, Felony, les paladins, …). Même si cela paraît décousu, il y a une histoire construite spécialement pour amener les situations et les jeux de mots qui sont les choses que j’apprécie dans cette série. Il y a même certains dialogues que je vais essayer de replacer comme le "tu es gaulé comme un raccourci clavier" qui m’a beaucoup fait rire. Un petit regret cependant, c’est l’absence de private joke en rapport avec le jeu de rôle qu’on pouvait trouver dans les albums précédents.

Le dessin est toujours aussi bon et efficace. C’est surtout dans les scènes d’action et dans les petits détails en arrière plan qu’il donne le mieux. Voir Batman et Hellboy dans un coin d’une case, ou l’état des paladins après l’attaque des démons ne se voit pas forcément à la première lecture. Au départ, ce sont plus les jeux de mots qui m’ont marqué et lors de la relecture de l’album, j’ai pris un autre plaisir à chercher les détails.

Si vous cherchez une histoire avec une intense réflexion philosophique à faire une fois l’album fini, n’ouvrez surtout pas cet album. Par contre, si vous voulez passer un bon moment de détente pour rire et sourire devant les gags visuels et jeux de mots, cet album est activement conseillé.

Par Fef, le 8 février 2005

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