KOOKABURRA UNIVERSE
Le secret du sniper (édition 2B)

Le Maïka est pris dans une embuscade menée par les pirates de l’espace. Ces deniers sont à la recherche de la perle d’or. Ils sont prêts à tout quitte à tuer tout l’équipage du vaisseau et enclenchent l’autodestruction du Maïka. Le capitaine est lui aussi mortellement blessé, il a juste le temps de transmettre le code pour que les derniers rescapés puissent poser le vaisseau sur une planète proche.
Bien du temps a passé et les enfants rescapés ont grandi et doivent s’occuper de leur petits frères et sœurs qui naissent aléatoirement selon le programme de Maïka.
Mais des trois aînés, Dragan est celui qui rêve le plus d’aventure et passe le plus clair de son temps loin de sa petite famille. Un jour, il va finir par attirer l’attention sur lui, et peut-être même celle des pirates de l’espace.

Par eric, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur KOOKABURRA UNIVERSE #1 – Le secret du sniper (édition 2B)

Ce premier tome de la nouvelle série Kookaburra Universe nous replonge dans le passé des personnages emblématiques de la série. Ici c’est le Space Sniper Dragan Preko qui ouvre le bal dans un récit touchant et riche en rebondissements. Crisse pour l’occasion abandonne le crayon pour se consacrer au scénario et c’est Nicolas Mitric qui met en action le futur sniper.
Dans sa version 2B, cet album est le second de la collection et suit de près Paradis Perdu. Et tout de suite les différences sont nombreuses entre les deux albums. Ici on entre vraiment de plein pied dans le monde de la création de bande dessinée. Certes l’effet fait un peu sale mais c’est le crayonné presque brut de fonderie qui apparaît sous nos yeux. Les nombreuses rustines présentes sur les planches, témoignent d’une part de la manière de travailler de l’auteur et d’autre part qu’une planche n’est jamais figée jusqu’au moment de l’encrage.
Le résultat nous donne l’un des plus beaux albums de la collection. Certes ses objets sont chers, mais cela vaut vraiment le coup de temps en temps de craquer pour l’un d’eux.

Par Eric, le 2 janvier 2008

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