KINGDOM GAME
Kingdom Game Tome 1

Lors d’une sortie scolaire, sept lycéens se retrouvent projetés dans un monde étrange, ou une mystérieuse jeune fille leur annonce qu’ils devront désormais participer à un jeu, Le Royaume. Les sept lycéens vont tour à tour se retrouver roi, noble, ou roturier. Chaque caste confère un ascendant et un rôle particulier. Mais comment résister à l’autorité absolue sur roturiers et nobles, conférée par le rôle de roi? Les abus de pouvoir seront-ils sanctionnés par les roturiers, qui peuvent s’associer pour renverser le roi? Chaque lycéen va devoir apprendre à vivre avec un nouvel équilibre dans le royaume chaque jour.

Par Clémence, le 22 février 2016

Notre avis sur KINGDOM GAME #1 – Kingdom Game Tome 1

Dans une cours de lycée, où l’équilibre entre adolescents est fragile, ce concept de jeu vient bouleverser la vie des sept lycéens. Chaque ado a ses propres faiblesses, et son propre dessein lorsque l’équilibre des pouvoirs se retrouve en sa faveur. Le tome 1 démarre en trombe, tous les ingrédients de l’intrigue se combinent pour une lecture bien agréable, et parfois meme surprenante.

Le récit presque à huis clos – de fait – puisque chaque renversement de situation affecte les relations entre les membres de ce royaume, nous embarque dans une réflexion fort intéressante sur le pouvoir, et son abus. Les règles du Royaume sont simples, mais nos sept héros vont vite faire les frais de leur méconnaissance de certaines subtilités.

Le manga se penche également sur des thèmes sérieux, tels que le harcèlement. Le concept n’est certes pas révolutionnaire, mais l’ensemble est bien mené et explore de manière souvent pertinente les relations entre les sept adolescents. A ne pas mettre entre toutes les mains peut-être, car si Kingdom Game reste tous publics, quelques scènes pourraient déranger la sensibilité des plus jeunes.

Après la lecture d’un tome riche en rebondissements, le cliffhanger en fin de manga nous promet une ouverture et un développement de l’intrigue tout aussi prenant.

Par Clémence, le 22 février 2016

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