KEN-ICHI
Le disciple ultime

Après que Ken’Ichi a fini de se faire raconter la rencontre entre le Grand Maître et Apachaï, qui depuis fait partie du dojo Ryozampaku, Niijima est parvenu à faire croire à Ragnarök que leur champion numéro 6, comme le numéro 5, avait accepté de grossir les rangs de l’Alliance Shinpaku !

Ken’Ichi suit toujours ses difficiles entraînements. Il va recevoir la visite de son père qui va s’affoler devant les traitements qu’il subit et essayer de le soustraire à l’irresponsabilité de ses maîtres.

Reviendra ensuite à notre héros un souvenir de jeunesse bien spécial, juste avant qu’une rencontre ait lieu entre lui et le champion numéro 1 de Ragnarök. Rien que ça !!!
 

Par sylvestre, le 7 février 2010

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Notre avis sur KEN-ICHI #13 – Le disciple ultime

Aux combats de Ken-Ichi contre des adversaires toujours aussi puissants et à l’humour typique de la "faune" du dojo Ryozampaku s’ajoutent dans ce tome 13 une touchante séquence souvenir revenant sur un épisode de la jeunesse de Ken-Ichi et de Miu (épisode évoqué sur la couverture) et un assez humoristique passage, non moins touchant sur la fin, mettant en scène le père de Ken-Ichi venu tirer son fils des griffes de ses maîtres complètement fêlés (et nous, lecteurs, on en sait quelque chose !!!).

C’est donc comme d’habitude un volume agréable, avec ce qu’il faut de nouveauté, d’humour et de petites choses faisant appel à des choses déjà rencontrées ou/et lançant la suite de plus belle. Une suite qui s’annonce d’ailleurs pas si évidente que ça pour notre disciple ultime : c’est quand même face au "numéro 1" qu’il se retrouve… Mais bon, on sait qu’il en a vu d’autres. Passé, le temps où l’on se faisait vraiment du souci pour lui ! Ken-Ichi n’est peut-être pas encore devenu celui qu’il voulait devenir. Il a en tout cas déjà gagné ses galons de héros à part entière aux yeux de ses fans !

Le dessin étant toujours aussi lisible, toujours aussi facile d’accès et les planches toujours aussi fourmillantes de détails, la lecture des aventures de Ken-Ichi confirme une fois encore être un sirop dont on s’abreuve avec gourmandise.
 

Par Sylvestre, le 7 février 2010

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