K
La planète aux illusions

Le croiseur K poursuit sa fuite en avant à travers l’univers et au détour d’une nouvelle planète nommée Eyrolia il se fait happer par la gravité de celle-ci. Le vaisseau doit ainsi se poser sur cette planète. Les cinq enfants chargés initialement ont commencer à révéler leur pouvoirs mutants durant le voyages et se retrouvent de nouveau réunis, seule la petite Kimi manque à l’appel. Ils explorent la nouvelle planète qui ressemble à un vrai paradis, ils ne semblent pas être conscients du drame qui s’est joué durant le voyage et le passage en hyper propulsion, et ils ignorent tout de se cachait le K en son sein.
Mais la réalité les rattrapent de nouveau en la personne du gardien d’Eyrolia : la gardien maitre de Terradoes. Ce dernier est un combattant redoutable et même le croiseur K qui l’espace d’un instant se transforme en robot géant ne parvient pas à en venir à bout.
Mais dans l’espace un menace persiste, si l’on oublie la terrible vague destructrice, il restes les terribles Aquiliens qui fondent sur Eyrolia.

Par eric, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur K #2 – La planète aux illusions

Avec Kookaburra K, ce spin-off de Kookaburra dont l’action se situe vraisemblablement après le dernier épisode. Au moment où était sorti le premier tome de cette trilogie, on ne savait rien de la fin de Kookaburra, maintenant on peut situer cette suite sans problème. La brochette de scénariste qui œuvre sur cette suite nous emmène dans un univers qui nous semble un peu étranger par moment, même si l’on retrouve des éléments bien connus. Le mystère autour de se croiseur K, ne cesse se s’épaissir mais les auteurs nous apportent les éléments de réponse au milieu d’une histoire qui part dans tous les sens.
Une fois de plus le travail de Ramos et d’Olea sur le dessin et la couleur est époustouflant. Bien sûr c’est avant-tout une histoire de goût, un goût de bonbon acidulé, c’est l’impression que l’on peut avoir en lisant cet album. L’infographie donne un rendu lisse mais pourtant cet album est une explosion de couleur. Il faut apprécier le style de Ramos qui frôle la caricature et pourrait sembler inadapté à un récit de science-fiction. Mais il participe à cette ambiance très cartoon. Certes on a l’impression que l’on va éclater de rire quand on voit certaines expressions alors que la situation est critiques mais ce n’est pas gênant et cela fait partie intégrante de la touche Ramos. Autre petite touche amusante, c’est le résumé de l’épisode précédent sous forme de dessin enfantin, ça permet de bien se remettre dans l’histoire et constitue en soi un bonne mise en abymes du récit.
Il ne reste plus qu’un tome pour découvrir ce qui se cache réellement dans les soutes du croiseur K, et surtout pour connaître l’issue du combat qui attend le redoutable gardien d’Eyrolia

Par Eric, le 17 novembre 2007

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