JUSTICE LEAGUE
Origin

Gotham City.
Le Batman est poursuivi par la police de la ville, alors qu’il était sur la piste d’un étrange individu. Le justicier de Gotham y affronte un ennemi différent. C’est lors de cette bagarre qu’intervient un autre héros : Green Lantern ! Ils vont s’aider pour lutter contre cette invasion.
En fait, dans divers endroits, des choses étranges se passent. A Washington, Wonder Woman va combattre certaines de ces créatures tout comme Aquaman, sous la mer. Les héros vont être rejoints aussi par Flash, Superman et un petit nouveau, un nommé Cyborg.
Ensemble, ils vont tenter de sauver le monde face à l’arrivée de cette menace menée par celui qui se nomme Darkseid !

 

Par berthold, le 19 mai 2012

Publicité

Notre avis sur JUSTICE LEAGUE #1 – Origin

Le nouvel univers DC est là !
Oui, si vous avez lu Flashpoint, vous savez que lors de la conclusion de cette saga, tout l’univers DC a été remodelé. Ca a été l’occasion pour l’éditeur de relancer ses séries. Certaines ont été fortement chamboulée, excepté Batman, Green Lantern et la Legion of Super-heroes qui ont su garder une certaine continuité.
La Justice League a donc connu un nouveau départ.

Ici, dans ce premier volume, intitulé Origin, les événements se situent cinq ans auparavant et le scénariste Geoff Johns nous invite à être témoin de la rencontre entre sept héros qui vont former la nouvelle Ligue de Justice : Batman, Green Lantern, Flash, Superman, Wonder Woman, Aquaman et Cyborg. Nous les voyons affronter la menace Darkseid.
Le récit est fort réussi, je trouve et, comme toujours chez Johns, nous sommes conquis par l’histoire.
Ah, vous voulez de l’action ? Et bien, vous êtes servis. De plus, Johns s’intéresse aussi aux psychologies des différents personnages.
C’est vrai que pour le coup, Superman a bien changé ! Fini le slip rouge sur le collant. Son costume ressemble un peu plus à une sorte d’armure. Même physiquement, il est différent. J’ai eu peine à le reconnaitre ! Cyborg aussi présente quelques différences tout comme Wonder Woman.

Coté graphisme, là, rien à redire face au talent de Jim Lee. Les planches sont efficaces et souvent assez surprenantes et époustouflantes. Quelques cases qui remplissent la page vous en mettent plein la vue ! Jim Lee montre qu’il est encore l’un des "patrons" au dessin.

Vous pouvez admirer en fin de volume des croquis, dessins et diverses recherches sur les personnages.

Bref, sans révolutionner le monde du neuvième art, cette série s’avère être fort prometteuse. Je vous invite à la découvrir sans plus tarder !

 

Par BERTHOLD, le 19 mai 2012

Publicité