JUSQU'A CE QUE LA MORT NOUS SEPARE
Plunder

Devant les difficultés s’étant présentées lors de leur raid, le groupe Plunder a décidé de faire sauter les ceintures d’explosifs portées par leurs hommes alors « au contact ». Cela dit, ils ne renonçaient pas pour autant à leur objectif de mettre la main sur Haruko et sur du matériel bio-électronique : ayant créé un barrage sur la route, ils ont arrêté peu après le véhicule de Mamuro et de ses compagnons.

Mamuro, Sierra et Igawa ne voulant pas livrer Haruko, ils ont fait mine d’accepter une somme énorme pour leur remettre l’enfant. C’est ainsi qu’ils ont accepté de suivre les terroristes jusque dans un cargo mouillant dans le port de Tokyo. Ce que Sierra avait pressenti avec angoisse, mais que Mamuro envisageait sereinement, c’est que ce cargo était un piège qui allait se refermer sur eux : leur 4×4 se retrouva bientôt dans une soute à ballast, cible facile pour les hommes armés qui ne tardèrent pas à fondre sur eux…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur JUSQU’A CE QUE LA MORT NOUS SEPARE #3 – Plunder

Avant tout, première chose : faites attention ! J’ai fait la désagréable expérience d’acheter un exemplaire de ce tome 3 montrant le défaut suivant : les planches 1 à 36 étaient remplacées par les planches 37 à 66… qui étaient donc en double ! Aaargh ! Vérifiez-donc vite-fait avant de passer à la caisse si votre exemplaire ne présente pas ce même défaut, sait-on jamais. Ce genre d’erreur de reliure existe parfois ; autant l’éviter…

Après, embarquez pour de l’action avec un grand A ! Ce tome 3 réserve son lot d’action, de suspense et de sang et nous livre tout ça dans un tourbillon effréné de qualité graphique et narrative comme on s’y attendait après avoir découvert les deux excellents tomes précédents.

La petite Haruko reprend mieux sa place dans le cœur du sujet en terme de présence au cours de ce tome 3. Les relations entre The Wall / Blade / etc apparaissent par contre parfois encore un peu complexes si l’on ne reprend pas la lecture de la série depuis la fin du tome 1, lorsque The Wall entre en scène.

La fin de ce volume ne voit pas Turus mis complètement hors circuit même si son sursis profitera à un autre. Quant à l’inspecteur Genda, flanqué d’un nouvel associé, a bien senti que la petite fille de la photo lui faisait penser à quelqu’un qu’il avait récemment vu… Bref, il y a de la relance, on ne risque pas de s’embêter par la suite, et c’est tant mieux.

Un scénario dense, un dessin au top… Jusqu’à ce que la mort nous sépare reste une intéressante série fantastique à suivre. Aux éditions Ki-Oon.
 

Par Sylvestre, le 21 août 2008

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