JULIUS CORENTIN ACQUEFACQUES, PRISONNIER DES REVES
La qu...

On retrouve donc Julius Corentin Acquefacques laissé en plutôt fâcheuse posture à la toute fin du premier tome pour la suite de son aventure…

Par melville, le 16 mars 2010

Notre avis sur JULIUS CORENTIN ACQUEFACQUES, PRISONNIER DES REVES #2 – La qu…

Suite à la mise en place méthodique et implacable d’un complot fomenté par un petit groupe d’individus dont on ne connaît pas l’identité, Julius Corentin Acquefacques se retrouve bien malgré lui chargé d’une mission. Mission bien mystérieuse qui consiste à découvrir la qu… Après la quête de l’origine, dans le premier tome, notre fonctionnaire au Ministère de l’Humour se retrouve donc ici, et ce à ses dépends, à la poursuite d’un nouveau mot qui n’existe pas encore dans son monde, cette fameuse et énigmatique qu…

Il est difficile d’en dire d’avantage sur ce second tome au risque d’en dévoiler de trop, ce qui serait bien fâcheux. Tout ce que je peux vous dire c’est qu’encore une fois Marc-Antoine Mathieu rivalise d’inventivité et d’ingéniosité dans ses trouvailles scénaristiques et cela pour notre plus grand bonheur ! Pages après pages on suit Julius Crorentin Acquefacques comme si on était juste à ses côtés et on vit littéralement son aventure, on a cette sensation terrible et grisante d’être totalement impliqué corps et âme dans l’histoire. Côté dessin, et bien que dire de plus si ce n’est que c’est encore une fois du très grand Marc-Antoine Mathieu. Son trait unique réussi avec beaucoup de justesse à transmettre l’atmosphère de la scène, qu’elle soit grandiose, infernale ou intimiste : tout simplement époustouflant !

Julius Corentin Acquefacques, prisonnier des rêves est donc décidément une très grande série qui n’a pas son pareil dans tout le paysage de la bande dessinée. A découvrir de toute urgence si vous êtes un temps soi peu bédéphile et que vous ne l’avez pas encore lue.

A noter également que comme souvent pour les albums de Marc-Antoine Mathieu il est préférable de ne pas les feuilleter pour éviter de gâcher les surprises qu’ils nous réservent…

Par melville, le 16 mars 2010

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