JULIEN BOISVERT
Charles

Julien Boisvert est resté au Mexique avec Molly sa femme et leurs deux enfants. Ils s’occupent d’Eléna en essayant de la faire sortir de prison le plus vite possible (voir tome 3) C’est là que la mère de Julien téléphone et lui demande de retrouver son père. Son grand-père mourant le demande ! Retrouver son père ! Cet homme qui l’a abandonné dans sa plus tendre enfance ! Enfin, il cède et part plus au Nord des Etats Unis. En route, il tombe en panne et le garagiste n’est autre que….. Charles Boisvert ! Il va devoir se justifier aux yeux de son fils qui va apprendre alors comment son père a été déporté pendant la guerre et comment il combat aujourd’hui, toute forme de ségrégation.

Par MARIE, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur JULIEN BOISVERT #4 – Charles

Dernier épisode des aventures de Julien Boisvert ! Bizarrement, cette série s’arrête déjà et c’est dommage car elle n’était pas que le récit introspectif de la vie de Julien Boisvert mais également une bonne excuse pour partir en voyage. Cette fin prématurée précipite un peu les choses, du coup les ficelles sont un peu grosses et on perd l’optimisme qu’il y avait dans le tome 3. Tout n’est pas perdu quand même puisque pour clore cette histoire les auteurs ont permis à tous les personnages de se retrouver, et à Gilbert, l’adorable basset de construire sa famille.
On assiste à la plus banale des happy end mais en même temps, c’était souhaitable et c’est très joli ! Evidement le dessin de Plessix est toujours aussi fort et il aide énormément à faire passer les accélérations du scénario.
Le thème fort de cet épisode est la lutte contre le racisme et la xénophobie, et principalement la dénonciation de l’action du Ku klux Klan, société secrète d’une rare violence. Ce dernier album de la série est assez dur et je ne le conseille qu’à un public averti.
A noter qu’en prime pour ce 4ème et dernier album, nous avons droit à un carnet de croquis plus que sympathique. Bye bye, Julien Boisvert : -)

Par MARIE, le 16 février 2003

Publicité