JOUR J
Les Ombres de Constantinople

1453. L’armée Turc assiège Constantinople, une cité jamais conquise qui se prépare pour son ultime combat. Mais, pour s’en sortir, il faudrait que les troupes chrétiennes viennent à leur rescousse.
Pour le moment, seul deux guerriers se démènent pour défendre et protéger la ville. Un ancien janissaire qui a déserté son camp et de celui avec qui il s’est lié d’amitié : Vlad Basarab, de la dynastie des Draculea, aussi nommé Vlad l’empaleur… Les deux soldats livrent une bataille sans merci, mais jusqu’à quel point ?

Par berthold, le 20 mars 2017

Publicité

Notre avis sur JOUR J #27 – Les Ombres de Constantinople

Dans ce nouveau Jour J, Duval & Pécau nous entrainent au XVème siècle, en mai 1453, avec le siège de Constantinople par des milliers de turcs. Et pour défendre la cité, la deuxième Rome, quelques 5000 hommes. Parmi eux, deux amis, Iskander, un ancien janissaire albanais qui a déserté son camp et Vlad Basarab, alias Vlad l’Empaleur ! Ils se démènent comme des diables pour sauver Constantinople.

Ce Vlad vous dit quelque chose n’est-ce pas ? Tout comme la superbe couverture de cet album signée Ugo Pinson et Fred Blanchard ?
Le duo de scénariste s’attaque à une uchronie mettant en scène Vlad Basarab qui n’est plus le fameux vampire qu’il a inspiré. Ici, le guerrier a mis son service au service de Constantinople pour faire face aux turcs. Nous assistons à des scènes de politique, des trahisons, des meurtres fraticides, mais surtout à quelques décapitations et autres empalements…
Ce récit est assez gore et violent. Le sang coule souvent. Ca n’est pas pour les tendres. Néanmoins, l’histoire est très prenante. J’ai hâte de lire la suite !
L’intrigue est fort réussi.

Tout comme le dessin de Yana, qui est aussi assisté d’igor Kordey dont on reconnait l’influence. L’artiste ne fait pas dans la dentelle, quelques scènes sont assez spectaculaires et impressionnantes.

La très belle couverture donne le ton de ce qui nous attend en ouvrant cet ouvrage. Je dirais que ce volume fait partie des meilleurs de la collection.
Âmes sensibles s’abstenir.
Amateurs de bonnes uchronies, n’hésitez surtout pas !

 

Par BERTHOLD, le 20 mars 2017

Publicité