JOHN CONSTANTINE : HELLBLAZER (VO)
Empathy is the enemy

John Constantine s’ennui dans un bar. Un nommé Chris Cole l’aborde et va lui raconter sa vie. Il va lui apprendre aussi qu’un certain Steve Evans lui a donné son nom. Ce qui ne dit rien à Constantine. Celui-ci pourtant accepte d’aider ce Chris Cole et ils vont se rendre à Glasgow pour essayer de retrouver Charlie, la femme de Cole…

Par berthold, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur JOHN CONSTANTINE : HELLBLAZER (VO) #25 – Empathy is the enemy

Ce nouveau tome des aventures de John Constantine reprend les épisodes de Hellblazer #216 à 222.
A l’écriture du scénario, vous y trouverez Denise Mina, auteure née à Glasgow en 1966. Elle est une des plus célèbres auteures de romans policiers. Elle a écrit entre autres : Garnethill, La Mauvaise heure, le champ du sang, etc..
Son talent lui ont donc valu d’écrire pour John Constantine : Hellblazer. Elle va donc faire ce Empathy is the enemy puis The Red Right Hand.
Elle va d’aileurs placer l’action de ces récits à Glasgow. Ce qui donne une autre atmosphère aux aventures de Constantine.
Ce récit, Empathy is the enemy, n’est pas mal du tout. Il vous prends et vous entraîne dans une sorte d’enquête policière. C’est vrai que le lecteur pourrait se croire dans une histoire classique de détective si ce n’est que le fantastique côtoie la quotidien et qu’avec Constantine, l’horreur n’est pas loin. C’est vrai qu’il est bien construit ce scénario. Cela m’a donné envie de découvrir les polars de Denise Mina. J’ai bien aimé le début et la fin. Il faut bien avouer qu’il est plutôt réussi ce Constantine là. Le suspense et le mystère sont bien tenus tout du long.

Coté dessin, nous y retrouvons Leonardo Manco qui donne une certaine noirceur à ce récit. Son style est bien sombre mais cela convient bien à la teneur du récit. Et puis, il nous donne par moment de belles vues de Glasgow.

La préface est signée d’un autre maître du polar écossais, Ian Rankin, le créateur de l’inspecteur Rebus.

Une enquête de John Constantine à ne pas manquer donc et une visite de Glasgow comme vous ne l’avez jamais vu.

Par BERTHOLD, le 27 mai 2009

Publicité