JEROME K. JEROME BLOCHE
Fin de contrat

Où qu’il aille, Jérôme n’est plus à l’abri. Même chez Babette, on tente de l’éliminer !
Qui est donc cet inconnu qui le traque et essaie de lui faire la peau, que ce soit par balles ou en utilisant de serpents ?

Par berthold, le 1 janvier 2001

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2 avis sur JEROME K. JEROME BLOCHE #20 – Fin de contrat

Avec ce tome 20, Dodier conclue le diptyque entamé par le tome précèdent : Un chien dans un jeu de quilles.
Nous allons suivre Jérôme K. Jérôme Bloche dans cette lutte pour sa survie. Car il ne baisse pas les bras, l’ami Jérôme ! Aidé par ses amis, il va tout faire pour découvrir celui qui lui en veut.
Et je peux vous dire que le suspense est à son comble jusqu’au mot fin. Dodier a su nous tenir en haleine sur 46 pages d’un récit fort agréable et réussi.
Si vous ne connaissez pas cette série, c’est toujours l’occasion de s’y mettre. Surtout qu’une intégrale vient de sortir concernant cette série et de plus, en noir et blanc : ce qui permet d’admirer le trait de Dodier. Un dessin fin, agréable, avec un dynamisme et du mouvement dans l’action. .
Finalement, ce tome 20 : Fin de contrat, est un bon titre anniversaire pour fêter ce vingtième volume.
Du bon polar traité avec humour et servi par un très bon dessin, que vous faut il de plus ?
Allez, lisez donc les enquêtes de ce détective hors norme, fan de Bogart, qui n’a pas son permis et qui roule en solex .

Par BERTHOLD, le 16 octobre 2007

Un thriller plein de fraîcheur…

Il a suffit de le feuilleter rapidement, et ce fut le coup de foudre.
Voilà ce que représentent pour moi les aventures de JKJ, le détective binoclard et maladroit.
Je me souviens d’avoir rencontré Dodier pour la première fois dans l’une des grandes librairies parisiennes, il y a quelques années.
J’ai vraiment été fasciné par la fluidité du trait et par l’expressivité des personnages. Malgré un petit air rétro, le dessin était moderne et dynamique.
Je ne parvenais pas à m’expliquer comment pouvaient coexister des ambiances aussi réalistes avec des visages aussi grotesques. L’ensemble aurait dû jurer, et pourtant tout était harmonieux, rien ne semblait mal à propos.
Le texte, que je ne comprenais qu’après 3 lectures ( bon, je le reconnais, mon français est encore un peu léger ;-)) était passionnant, avec la juste dose de tension, afin de ne pas perturber ce monde, conservant son équilibre entre réalité et fiction.
Je pense que parce que les auteurs ne se prennent pas au sérieux, cela se répercute sur l’esprit de l’oeuvre la rendant toujours agréable et divertissante.
Je crois que l’un des aspects magiques dans le fait de raconter une histoire en bandes dessinées soit de transmettre au lecteur l’envie d’en faire autant. C’est ce qui m’arrive quand je referme un album de JKJ… En fait, le livre reste toujours ouvert dans ma tête, et aussi un peu dans mon coeur, et je me promets d’essayer moi aussi d’immaginer un thriller aussi plein de fraîcheur.

Par Andy (Andréa Mutti), le 5 août 2008

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