JACK PALMER
L'Affaire du Top Model

La Top Model Sonia va devoir faire appel à Jack Palmer pour assurer sa sécurité, depuis qu’elle a eu le malheur lors d’un défilé, de revêtir une robe rappelant curieusement la tenue traditionnelle de la secte Zoustich.
En effet, ceux-ci, pour venger cet affront ont décidé de l’exécuter dans la plus pure tradition Zoustich : le bourreau devra porter la tenue rituelle, et réciter les 300 versets du grand livre Zoustich avant de passer à l’acte…
Jack Palmer va alors avoir fort à faire pour… rester éveillé

Par RONAN, le 1 janvier 2001

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2 avis sur JACK PALMER #11 – L’Affaire du Top Model

L’album que j’ai lu est une réédition. Il a été au départ édité avant celui de l’enquête corse, la fameuse histoire qui a vu une adaptation cinématographique.
Vous pensez donc bien que l’éditeur ne s’est pas privé de rajouter sur cette nouvelle édition, en gros et bien visible, que Pétillon était également l’auteur de l’enquête corse, qu’avant cet album, il y avait l’enquête corse, et que éventuellement, j’aurais mieux fait d’acheter l’enquête corse…
Bref un rien marketing cette réédition.
Bon, il n’en reste pas moins que cet album est plutôt réussi, même si certains gags sont un peu au raz des paquerettes, et parfois répétitifs. L’auteur place de bons mots tout au long de l’histoire, et certaines remarques sont de vrais petits bijoux.
Pour ce qui est du dessin, et bien la couverture ne ment pas. C’est du Pétillon tout cracher, un style caricatural d’illustration de presse, avec ici la couleur en plus.

Par RONAN, le 23 février 2005

J’ai lu cet album dans une version précédente, quand il s’appelait encore "Jack Palmer & le Top Model". Parti pour me payer une bonne tranche de rire, j’ai finalement été déçu par les trois histoires qui le composent.

Que ce soit :

"Le top model" (voir le résumé sur la fiche avis),

"Tout faux" (Une enquête de Palmer chez des faussaires mettant sur le marché des copies de sabliers de marque) ou encore

"Pizza fatale" (Mais comment est arrivée cette pizza parmi ces fervents défenseurs de la gastronomie; pizza à côté de laquelle on a d’ailleurs découvert un cadavre…),

j’ai trouvé que chaque histoire (drôle, au demeurant) perdait tout le bénéfice de son humour dans la fin qui lui était inventée : à chaque fois une fin en queue de poisson. Quoique un peu moins pour la dernière. Genre "Et bé ça valait bien la peine de se décarcasser pour ne nous offrir que cette fin-là"… Dé-çu…
 

Par Sylvestre, le 5 janvier 2007

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