IZNOGOUD
Le complice d'Iznogoud

Tout droit sorti d’une boule de feu, un étrange petit personnage s’est précipité vers le palais de Bagdad, pensant y trouver le calife Iznogoud. Mais lorsqu’il s’est aperçu que Haroun el Poussah n’avait toujours pas été remplacé par son ambitieux grand vizir, l’étrange petit personnage est allé trouver ce dernier…

Il a alors dit à Iznogoud qu’il venait de la part du Diable et lui a rappelé qu’un contrat avait été signé entre eux il y a fort longtemps, un contrat qui prévoyait que le grand vizir accède au pouvoir à la place du calife. Mais ce n’était toujours pas le cas. Iznogoud n’avait donc pas honoré son contrat…

Bon prince, le Diable lui accordera dix jours supplémentaires pour devenir calife. Dix jours pendant lesquels Iznogoud allait en outre pouvoir compter sur un complice offert par le Diable. Cadeau ! Mais… Comment reconnaître ce complice parmi tous ceux qui allaient croiser le chemin d’Iznogoud ?! Et son aide allait-elle réellement permettre au grand vizir de réaliser son rêve ?
 

Par sylvestre, le 3 janvier 2010

Notre avis sur IZNOGOUD #18 – Le complice d’Iznogoud

Pas de grain de sable (et cela malgré la proximité du désert), dans les rouages de cet amusant nouveau scénario d’une histoire longue de la série Iznogoud. Situations comiques, gags à répétition et dialogues fendards sont une fois de plus les chamelles, euh… les mamelles du succès d’un titre voyant désespérément "notre" grand vizir tenter de barboter à son souverain le trône qu’il occupe placidement. Et pourtant, et pourtant… Le complice était de taille. Le Diable ! Rien que ça !!! Mais que voulez-vous ? Quand la taille du complice n’a d’égale que la bêtise de celui qui aurait besoin de son aide…

A se demander si Iznogoud ne préférerait pas qu’on ne lise pas ses aventures… Afin qu’on ne le voit pas sans arrêt se casser le nez (qu’il a grand, et qui aurait pu changer la face du… ah, non, ça, c’est dans un autre pays !) N’empêche que nous, on finit par en redemander, du grand vizir malchanceux ! Alors en route pour la lecture de cet album : le Diable n’attend pas !
 

Par Sylvestre, le 3 janvier 2010

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