IZNOGOUD
Des astres pour Iznogoud

Des astres pour Iznogoud :

Derrière les murs d’une discrète maison de Bagdad la merveilleuse, un génial inventeur a conçu une machine pouvant se propulser dans le ciel bien plus haut que ne le permettrait alors le meilleur des tapis volants. Quand le vil vizir Iznogoud apprit que cet engin pouvait aller se planter dans la voûte céleste de velours qui chapeaute la Terre sans malheureusement pouvoir s’en dégager pour revenir sur le plancher des vaches, il programma immédiatement l’achat de l’appareil et un voyage spatial pour le calife Haroun el Poussah dont il convoitait le trône depuis toujours…

L’élève d’Iznogoud :
Le terrible sultan Pullmankar a envoyé son fils Vagonli en stage dans le califat de Haroun el Poussah. Ce dernier a chargé Iznogoud d’être le professeur du petit prince. Le vil vizir a donc décidé d’être horrible avec son élève afin que celui-ci se plaigne à son père, son terrible père qui ne manquerait pas de venir faire la guerre à Haroun el Poussah…

Le talisman du Tartare :
Un tartare vint un jour trouver Iznogoud pour lui vendre un talisman ayant le pouvoir de changer les rêves en réalité. Dès l’achat fait, Iznogoud fila donc au lit…

Chapeau !

Un chapeau qui rend fou ! Chouette acquisition qu’a faite là Iznogoud, lui qui programmait justement un dîner déguisé ! Le futur porteur du chapeau était tout désigné : le calife ! Mais tout ne se passa pas comme prévu : un prestidigitateur fut le premier des convives à s’emparer du chapeau…

Noirs dessins :

Sauvé par Iznogoud d’un sort, un mage offrit au vil vizir un crayon magique qui lui fit grand plaisir : il suffisait de dessiner quelque chose ou quelqu’un puis de déchirer la feuille pour que le modèle disparaisse et réapparaisse sur une lointaine île… Le problème, c’est qu’Iznogoud ne savait pas bien dessiner. Après plusieurs vaines tentatives, il alla prendre des cours chez un talentueux artiste, un certain Tahbari el Retahrd…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur IZNOGOUD #5 – Des astres pour Iznogoud

« Calembour dans le titre, auteurs qui font les pitres ! » De vrais enfants, de vrais clowns… Tabary et Goscinny ont fait une fois de plus se relever le vil vizir Iznogoud de ses déboires pour l’envoyer encore et encore contre le mur de sa bêtise et de son ambition. Chaque historiette est comme toujours croustillante à souhait. Depuis ses parutions dans Record et Pilote, le p’tit barbu fait rire. Il continue d’ailleurs et chaque relecture de l’un de ses albums vous le confirme !

Un grand classique du 9ème art. Recommandé à toutes et tous.
 

Par Sylvestre, le 1 septembre 2008

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