IZNOGOUD
La tête de Turc d'Iznogoud

La tête de turc d’Iznogoud :

Chez le marchand Kholi Bey, Iznogoud est allé acheter un puzzle magique composé de 10000 pièces. Pour supprimer quelqu’un à l’aide de ce puzzle (eh oui, ce n’est pas pour le jeu lui-même qu’Iznogoud se l’est procuré, vous vous en seriez doutés !) il suffit de penser à cette personne (par exemple à un calife !) au moment où on place la toute dernière pièce…

Le chant qui fige :

Un marin sourd a remonté dans ses filets une sirène dont le chant a la particularité de figer pour l’éternité ceux qui l’entendent. Vous pourriez demander aux membres de son équipage, mais ils resteraient de marbre, voyez-vous…

En tout cas, voilà qui n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, si j’ose dire : Iznogoud a donc acheté cette sirène – une belle prise – et s’est empressé de l’emmener au palais califal afin que son souverain (à la place duquel il aimerait être, le saviez-vous ?!) puisse écouter son chant…

La potion du cheikh :

De ses voyages en Afrique, le cheikh Travelehr a rapporté une potion qui fait diminuer en taille ce sur quoi une goutte au moins est versée ou ceux qui en boivent. Iznogoud lui achète la fameuse potion et décide d’en faire boire, je vous l’donne en mille, au calife Haroun el Poussah…

Le calendrier magique :

Iznogoud sera-t-il un jour calife à la place du calife ? C’est peut-être le calendrier magique qui lui donnera la réponse : il permet de voyager dans le temps au gré de ses feuilles qu’on enlève ou qu’on recolle…
 

Par sylvestre, le 1 août 2009

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Notre avis sur IZNOGOUD #11 – La tête de Turc d’Iznogoud

Le temps n’avait donc pas de prise sur la qualité de cette série qui, avec ce onzième tome, nous servait encore une fois d’excellentes histoires courtes dans lesquelles on prend toujours un plaisir fou à voir le vizir Iznogoud tenter de devenir calife à la place du calife.

Quel grand dépensier, cet Iznogoud, quand on y pense ! Vous l’avez lu dans le résumé : dans chaque historiette, il achète, il achète. Un grand consommateur, aux dépenses à l’échelle de sa volonté d’accéder à un poste meilleur. Saurait-on alors lui en vouloir ? D’autant qu’il nous fait vraiment rire, et ce grâce aux talents de ses pères, Goscinny et Tabary, qui usent à merveille du dessin, de jeux de mots et de situations bien racontées. Quel humour !

Ce tome 11 a une particularité, aussi, tiens, tant que j’y pense. Vous la découvrirez dans la troisième histoire, La potion du Cheikh, où les personnages sont dessinés dans un style différent que celui qu’on connaît généralement à la série. Ca donne un petit air original de plus à une histoire qui, entre nous, ne l’est peut-être pas des masses mais qui, et comme toujours lorsqu’il s’agit d’Iznogoud, passe très bien. La preuve ? On en redemande toujours !

A lire et à relire. A posséder et à reposséder (euh, non, ça, c’est débile comme phrase !) ^^
Bonne lecture !
 

Par Sylvestre, le 1 août 2009

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