IZNOGOUD
Le grand vizir Iznogoud

Six histoires sont au programme de ce premier tome :

Le génie :

Auprès d’un marchand de babioles, le grand vizir Iznogoud et son fidèle homme de main Dilat Laraht prennent possession d’une paire de babouches magiques desquelles un génie peut sortir. Ce génie ayant prouvé plusieurs fois qu’il pouvait transformer n’importe quoi ou n’importe qui (et vice versa) en n’importe qui ou en n’importe quoi (et vice versa), l’ambitieux vizir dont le souhait suprême est de remplacer son calife a décidé de faire transformer ce dernier…

Voyage officiel :

Un sultan voisin a proposé une visite officielle au calife Haroun El Poussah. Celui-ci pensait décliner l’invitation avec comme prétexte le déplaisir qu’il prend à voyager, mais Iznogoud va pourtant réussir à le convaincre d’y aller et va tout faire pour que le séjour du calife offense le sultan réputé terriblement belliqueux…

Les hommes de main :

Dilat Laraht en congé annuel, Iznogoud va s’offrir les services d’hommes de main, leur donnant pour mission de capturer le calife et d’aller le vendre comme esclave très loin de Bagdad.

La horde :

Gengis Khan a des vues sur le califat d’Haroun el Poussah. Il va envoyer ses armées marcher sur Bagdad sans se doute que son fidèle Bloudjine aimerait bien devenir khan à la place du khan…

Un sosie :

Dilat Laraht a présenté à Iznogoud un sosie du calife. Le plan est alors le suivant : substituer l’un à l’autre et faire passer pour usurpateur le véritable calife, après quoi congédier le faux pour prendre la place sur le trône…

L’île des géants :

Quand un marin parle d’une île où vivent des cannibales, Iznogoud n’a qu’une envie : y conduire son calife afin qu’il serve de repas…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur IZNOGOUD #1 – Le grand vizir Iznogoud

Au départ publiés sous le nom de série Les aventures du calife Haroun el Poussah, les albums mettant en scène ledit calife, son grand vizir Iznogoud et le dévoué Dilat Laraht ont fini avec le temps par mettre en avant Iznogoud. C’est ainsi qu’on parle plus facilement, désormais, de cette série sous l’appellation Iznogoud.

Comme quoi, quelque part, il a atteint en partie son objectif d’annexion du pouvoir ! Et c’est bien mérité, quand on voit la qualité de ces aventures écrites par Goscinny et mises en images par Tabary : dès le premier tome (celui-ci !), le ton était donné : les lecteurs allaient rire pendant de longues années !

Un grand classique. A lire, à posséder.
 

Par Sylvestre, le 5 août 2008

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