IVOR
Un jour, un mercenaire

Une troupe de comédiens doit passer un péage. Dans le haut moyen-âge, les droits de passages sont exorbitants. La troupe engage donc un mercenaire, Ivor, pour « convaincre » les soudards gardant le pont de laisser passer la caravane.
Mais Ivor arrive sans matériel, à pied. Il a en effet perdu son attirail en joutant quelques heures auparavant. Il décide néanmoins de charger…

Par TITO, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur IVOR #1 – Un jour, un mercenaire

Ivor, c’est toute mon adolescence. Car Ivor EST l’adolescence. Insouciant, frondeur, il n’a peu de rien. Il a beaucoup de défaut, des faiblesses et du coeur, mais il est aussi cupide et vaniteux.
La devise d’Ivor, « Vive la Mort », m’a suivi dans toutes les parties de jeu de rôle durant lesquelles j’incarnais un intrépide soudard. Bref Ivor c’est le rêve à l’état pur. Toute la bande dessinée est construite autour du personnage, et le scénario, basique mais efficace, nous porte à vive allure de bagarres en guerres et des bras d’une belle comédienne à ceux d’une princesse très singulière, le prince Philippe…
Une BD qui se lit comme un souffle, et qui à mon grand étonnement n’a pas vieilli et souffre la comparaison avec les Lanfeust actuels… Si vous tombez dessus dans une brocante, n’hésitez pas une seconde.
« Vive la mort, Vive la guerre, Vive le sacré mercenaire !!! »

Par TITO, le 3 juillet 2003

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