IPPO
Tome 24

Miyata fait son retour sur les rings japonais. Il impressionne immédiatement en mettant K.O. en quelques instants le numéro 1 coréen, Tyon Pil Li. Ippo, qui a assisté au match, reste estomaqué devant l’efficacité de son ami. Il s’inquiète aussi, car il n’a toujours pas repris les combats depuis sa défaite contre Date.

Mais les choses vont changer. Le Président est parti à l’étranger trouver des adversaires pour ses poulains. Il s’agit de Thaïlandais. Ippo apprend alors qu’il sera la tête d’affiche de la soirée. Pour lui, la pression remonte d’un coup. Kamogawa va lui infliger un entrainement très dur. Mais ne craquera pas celui auquel on s’attend. Le Président est soudain hospitalisé, épuisé par le rythme des entrainements et par la tension. Ippo sait qu’il va devoir continuer seul à se préparer contre son adversaire, dont il ne connaît rien.

Par legoffe, le 11 août 2009

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Notre avis sur IPPO #24 – Tome 24

Ippo est toujours en plein doute après sa défaite contre Date. Mais nous assistons tout doucement à sa renaissance en tant que boxeur. De la chute au retour sur le ring, les émotions et les épreuves sont multiples. Morikawa le raconte très bien, avec justesse et humour, mêlant scènes comiques et tension. Il est un maître en matière de suspense sportif. Il sait aussi expliquer, sans être rébarbatif, l’aspect technique de ce sport, ce qui plaira autant aux amateurs qu’aux novices comme moi.

Morikawa sait aussi faire honneur à ses modèles en dessinant très efficacement les matchs, apportant du mouvement et de la grâce aux athlètes. Vous en prendrez ainsi plein la vue dans ce tome, qui regroupe quatre matchs en tout, pas forcément très longs, mais dont la dramaturgie est parfaitement assurée.

Et, pour une fois, tout l’épisode tient dans le livre, ce qui vous évitera de vous retrouver en plein suspense dans la dernière page, comme sait si bien le faire Morikawa en général. Ceci étant, il n’oublie tout de même pas de nous donner envie d’aller au tome suivant en terminant l’histoire par un nouveau défi qui promet beaucoup. Ah, incorrigible cet auteur ! Et nous, nous en redemandons !

Par Legoffe, le 11 août 2009

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