INU-YASHA
Inu Yasha

Alors que Rin dérobe de la nourriture dans un champ pour se nourrir, elle est kidnappée par Kagura, agissant sur les ordres de Naraku. Ce dernier espère contraindre Sesshômaru à venir le voir au château. Bien qu’il prétende vouloir lui faire du chantage en monnayant la vie de Rin contre celle de Inu-Yasha, il a, en réalité, un autre plan en tête.
De leur côté, Inu-Yasha et ses amis sont toujours à la poursuite du château fantôme de Naraku. Alors qu’ils semblent s’en rapprocher, Kagome perçoit l’odeur d’un fragment de la perle de Shikon. Ils décident donc de se scinder en deux groupes : Inu-Yasha part seul à la recherche de Naraku pendant que Kagome, Sango et Miroku se lancent sur la piste du fragment.

Par KOMORI, le 1 janvier 2001

Notre avis sur INU-YASHA #23 – Inu Yasha

Naraku cherchant à gagner en puissance et voulant éliminer Inu-Yasha : rien de nouveau dans le récit. En fait, c’est l’impression générale de tout le volume : le déjà-lu !
Inu Yasha court TOUJOURS après la pierre, Naraku s’échappe TOUJOURS, Kohaku est TOUJOURS ensorcelé…. On tourne en rond : l’intrigue traîne en longueur et on reste sur le même type de narration. Quand les héros sont sur le point d’attraper l’ennemi, il se fait la malle et, bien sûr, un nouveau monstre apparaît, il y a un nouveau combat et une nouvelle victoire ! Même les pointes d’humour restent sur le même registre : crise de jalousie du chien et gestes pervers du moine !
Il s’agit du tome 23 et on n’a pas avancé d’un iota (mis à part le fait que le sabre d’Inu-Yasha soit désormais rouge et plus puissant !). Le seul élément qui change un peu c’est le passage éclair d’Inu-Yasha dans le monde des humains.

Le graphisme aussi reste plat : les personnages ont des traits très similaires, voire simplifiés ; les combats sont statiques ; même les coups employés ne varient pas (un coup de sabre ou un coup de griffe !).
Quant aux monstres, ils frisent le grotesque : Naraku ressemble à un poulpe croisé avec une araignée, et il y a plus effrayant qu’une perruque dotée d’une bouche pleine de dents ! Si l’on s’intéresse aux Yokai, autant lire du Mizuki !

Les tomes se suivent et se ressemblent, vivement que l’on avance un peu !!

Par KOMORI, le 6 mars 2007

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