INU-YASHA
Inu Yasha

InuYasha et ses compagnons continuent leur route à la recherche des morceaux de la perle de Shikon et arrivent ainsi dans un village reculé. Kagome ne ressentant rien, ils décident de se scinder en deux groupes pour multiplier leurs chances.
Alors qu’Inu Yasha et Kagome flânent un peu au soleil, Shippô, qui s’est éloigné pour laisser les tourtereaux seuls, rencontre une petite fille qui se fait malmener par des garçons. La sauvant grâce à une de ses transformations, il découvre qu’elle possède un morceau de perle et qu’elle espère pouvoir l’utiliser pour ramener son frère à la vie.
Au même moment, Inu Yasha et le reste de ses compagnons sont invités par le chef du village à séjourner dans sa demeure, en échange de l’exorcisme pratiqué par Miroku. Quand Shippô ramène la jeune Satsuki pour qu’elle leur montre son morceau de perle, Kagome se rend alors compte qu’il s’agit d’une imitation et laisse repartir l’enfant avec son trésor.
Désireux de se venger, le démon chassé par Miroku, profitant de l’espoir de Satsuki de revoir un jour son frère, prend l’apparence de ce dernier pour tromper l’enfant et ainsi récupérer les morceaux de la pierre.

Par KOMORI, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur INU-YASHA #21 – Inu Yasha

Ce tome, bien que tourné vers la quête de la perle de Shikon, centre plus le récit sur les personnages secondaires. Il permet d’étayer leur caractère et donne une autre dynamique à la quête du héros. L’auteur offre ainsi une place à chacun dans l’aventure, sans pour autant perdre la cohérence et l’unité du récit. Il fait de même avec les personnages adverses : on assiste ainsi à la détresse de Kagura, décidée à retrouver sa liberté et prête à trahir Naraku pour y parvenir. Cela permet à l’auteur d’apporter un peu plus de consistance à l’univers de son contre-héros et au psychisme des protagonistes.
Le trait reste fin, net, efficace mais relativement simple (en particulier pour le travail sur les visages et expressions). L’auteur utilise essentiellement des cases fermées, à l’exception de certaines scènes de combat pour lesquelles la non limitation du dessin sert à accentuer la démesure et la puissance des affrontements. En fait, on a la sensation qu’il respecte les canons du genre.
L’impression générale est celle du classicisme tant dans le scénario que dans le graphisme.

Un titre pour jeune public.

Par KOMORI, le 6 octobre 2006

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