INU-YASHA
Inu Yasha

Inu Yasha décide d’affronter seul la dernière création de Naraku : un démon capable de se servir du vent, qui a ensorcelé les habitants du village pour s’en faire un bouclier. Le combat est difficile, d’autant que Kagome n’est pas auprès de lui. Elle est elle-même entrain d’affronter un autre démon : le néant qui, se servant de son miroir, essaie d’absorber son âme. Kagome est dans une situation délicate : elle n’a presque plus de force et risque de perdre le morceau de perle. Dans un dernier sursaut, elle réussit à résister suffisamment longtemps pour que Shippô et Miroku viennent à son secours.
N’écoutant que son courage, elle décide de rejoindre Inu-Yasha sur le champ de bataille. Ce dernier ne parvient pas à se défendre correctement et finit par être grièvement blessé. C’est alors que Naraku fait on apparition, bien décidé à en finir avec son ennemi.
Inu-Yasha parviendra-t-il à se sortir de ce mauvais pas ?

Par KOMORI, le 1 janvier 2001

Notre avis sur INU-YASHA #16 – Inu Yasha

Ce titre fait appel à un ressort assez classique dans les shônen : la projection d’une lycéenne moderne dans un monde parallèle, plein de magie et de démons, avec une mission à accomplir. Rien de nouveau donc de ce côté-là mais il faut reconnaître que c’est support narratif qui marche bien.
Kagome, la jeune héroïne, est la réincarnation d’une prêtresse qui désensorcelle, sans le vouloir, Inu-Yasha un guerrier aux tendances « canines ». Elle se retrouve ainsi prise au milieu d’une lutte entre bien et mal qui la dépasse un peu.
On ne peut pas dire cependant que le scénario soit enlevé : l’auteur va parfois vite en besogne. On voit se succéder de tas de démons, des combats qui mettent à l’épreuve les sentiments des héros. On a la sensation qu’il manque un petit quelque chose : un peu d’inattendu peut-être ?
Pour ce qui est du trait, le tout est assez simple et dépouillé. Les effets de fonds laissent cependant une impression de statique, et les lignes de vitesse n’y changent pas grand-chose.

Un titre réservé à un jeune public.

Par KOMORI, le 10 septembre 2006

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