INSIDERS
Les dragons de Pékin

Najah, la jeune femme qui a été engagé de force dans le "projet" Insiders a bien failli y laisser sa vie et passer devant le peloton d’exécution quand elle a été attrapé par le FSB. Mais elle a été envoyé dans un goulag en Sibérie Orientale où elle a été torturé, humilié. Grâce à l’amitié d’une détenue, elle a tenu le coup et les deux femmes ont réussi à s’enfuir.
Sur le fleuve Amour, entre la Chine et la Russie, les soldats russes essaient de rattraper les deux femmes. Les chinois vont leur venir en aide. Najah va se retrouver en République Populaire de Chine et va découvrir que Youria n’était pas vraiment ce qu’elle disait…

Par berthold, le 1 janvier 2001

Notre avis sur INSIDERS #7 – Les dragons de Pékin

Bartoll et Garreta poursuivent ce récit palpitant, mené tambour battant qu’est Insiders.
Ce tome 7, Les Dragons de Pékin est d’ailleurs l’avant-dernier tome de la saison 1. Tiens, eux aussi, ils se mettent à parler de saison comme dans les séries TV. De toute façon, Insiders est de l’excellent feuilleton.

Bartoll ne ménage pas son héroine, Najah, encore une fois. Ni d’ailleurs, les nerfs du lecteur qui sont encore mis à rude épreuve dans ce tome. Même si le scénariste dévoile quelques pans de l’intrigue, il nous maintient toujours en haleine avec cet excellent suspense. Il nous entraine autour du monde pour ce thriller politique. Il s’intéresse aussi de près à Sam Natchez et à ceux qui complotent autour. Cette série est digne des meilleurs James Bond comme le montre cette belle scène d’action où Najah tente de fuir en bateau et où elle est poursuivi par des chinois.

Je dois bien avouer que Garreta me surprend aussi par son graphisme. Il a un tel dynamisme pour les scènes d’actions que l’on sent qu’il attend que ça lorsqu’il dessine. Il est vrai que ce tome 7 comporte de nombreux morceaux de bravoures dont un final assez explosif.

Dès que nous refermons la dernière page, nous n’avons plus qu’une seule idée en tête : vivement la suite  ui va donc conclure cette saison 1.

Par BERTHOLD, le 16 mars 2009

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