INNOMMABLES (LES)
Poupée de bronze

Sur le front de Corée.
L’armée américaine, outre les combats, souffre des conditions climatiques de ce pays.
Mais tout cela n’a pas l’air de gêner les Innommables, qui semblent bien se débrouiller. Raoul la truie et ses petits les ont accompagnés. Claire aimerait que Mac lui fasse l’amour, Tony vient d’avoir une érection en regardant une photo de Marylin Monroe, à moins que cela ne provienne d’autre chose.
Les communistes vont tenter d’assassiner MacArthur, mais ce dernier vient d’être limogé. Les communistes apprennent que la star Marylin Monroe va venir dans la région remonter le moral des troupes. Il faudrait donc l’assassiner pour que l’Amérique soit marquée ! Le camarade Jen va demander à Poupée de Bronze de lui modeler un tueur implacable. Cela tombe bien, l’homme a quelqu’un en main, une "Ani" ! Et cette "Ani" n’est autre qu’Alix !

 

Par berthold, le 27 août 2010

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Notre avis sur INNOMMABLES (LES) #8 – Poupée de bronze

Yann et Conrad nous entraînent donc en pleine guerre de Corée.
D’entrée, ils nous montrent la réalité de la guerre et les conditions dans lesquelles ont vécu les soldats. Bien sûr, l’humour de Yann et Conrad refait vite surface.

Yann et Conrad vont aussi utiliser l’image de Marylin Monroe venue dans ce pays pour remonter le moral des troupes. Ce qui va, forcément, occasionner de nombreux quiproquos. Tim va aussi se rapprocher de Norma Jean (Marylin Monroe).
Yann va vous faire découvrir l’argent qu’utilisaient les GI en Corée : des billets à l’effigie de Mickey Mouse et Donald Duck ! C’est assez incroyable !
Ici, Yann parle aussi du lavage de cerveau fait sur des soldats pour tuer des personnalités dans leurs pays ou encore les pratiques spéciales des communistes pour parvenir à leurs fins. C’est donc là que nous retrouvons Alix qui est devenu une "Ani" un corps sans âme, une parfaite machine à tuer.
Nos Innommables vont donc se retrouver dans de drôles de situations : Tony embêté par sa première érection dûe à …(surprise) et Mac qui rêve de retrouver sa fille aux USA, et qui se retrouve devant une Alix inconnue.

Didier Conrad se fait aussi plaisir à mettre en images tout ce pataquès scénaristique.
Comme vous le verrez, cette bande dessinée est en odorama. Vous grattez là où il faut (sur la page proposée avec la première édition et lorsque vous arrivez sur les cases citées, puis vous sentez ! C’est à vos risques et périls, par contre.

Bref, à la fin, nous n’avons qu’une hâte : c’est de découvrir le prochain tome !

 

Par BERTHOLD, le 27 août 2010

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