INDIANA JONES
Et la cité de la foudre

Dans le train qui l’a conduit à Calcutta, Indiana Jones n’a pas eu le temps de raccrocher son uniforme de héros aventurier : il a dû protéger une femme, une chanteuse indienne nommée Kamala, d’agresseurs qui voulaient l’enlever.

Ayant à son arrivée remis la victime sous la protection de la police locale et ayant retrouvé son amie journaliste Marya Smirnova qu’il devait retrouver, il a été captivé par les informations que celle-ci avait recueillies au sujet de la mystérieuse Cité de la Foudre.

Suivant les pistes qu’ils avaient, tous les deux sont partis à sa découverte, affrontant moult péripéties et levant le voile sur la légendaire Cité ainsi que sur les motivations de ceux qui perpétuaient son mystère et sa grandeur…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

Notre avis sur INDIANA JONES #2 – Et la cité de la foudre

Après quelques pages ayant trait aux films dans lesquels Harrison Ford campait le très populaire Indiana Jones, la bande dessinée part sur les chapeaux de roues, nous apprenant dès la première case que notre héros n’a pas attendu que cette nouvelle aventure commence pour sauver "hors caméra" une femme qui se faisait agresser !

Cette fois, c’est en Inde que se situe l’histoire. Jones est vraiment un de ces aventuriers à l’aise dans tous les décors et dans tous les mystères. Ainsi Claude Moliterni l’envoyait à nouveau au-devant de danger dont sa carrière cinématographique lui avait fait grâce. Car en effet, Indiana Jones peut être mis à toutes les sauces dès lors qu’une aventure est à raconter… Et peut-être qu’il suscitera quelque intérêt auprès des lecteurs là où un héros inconnu n’aurait pas attiré leur attention.

On voit en tous cas que le scénariste nourrissait une passion pour l’Inde ; pour sa religion, son histoire ou encore sa mythologie. De longs dialogues en témoignent et assurent un certain intérêt à cette aventure sinon sans grande surprise (Attention : spoil ! On est par exemple loin d’être surpris de l’intervention des lépreux vers la fin alors qu’on pouvait l’être beaucoup plus lorsque Jones les a découverts… et les a laissés croupir dans leur geôle !!!)

Egal à celui qu’on avait connu dans le tome précédent, le dessin d’Alessandrini assure le minimum syndical. Et comme pour le tome 1, le visuel de la version publicitaire offerte à une époque dans les stations Shell et qui est visible sur cette fiche se révélera plus fidèle au graphisme des planches que le visuel de l’édition originale, beaucoup plus réaliste  !
 

Par Sylvestre, le 19 avril 2009

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